Psychologie de Bazard
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TOUSSAINT 2005
- Le 30/03/2021
- Dans Chroniques des temps qui passent
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TOUSSAINT 2005
Aujourd'hui premier novembre
C'est la Toussaint 2005
Je pense à ma mère
qui se meure doucementEt qui attends sa mort
comme une délivrance proche
Ma mère avec un cancer
en phase extrême de son évolutionMa mère qui m'a allaité
quand j'étais un petit enfant
Je me voue à tous les seins sains
de saintes et femmes enceintesJe pense à Myriam mère de Yéshoua
qui fut mère avant d'être vierge
Je pense à l'abbé Pierre
qui a avoué avoir eu des tourments amoureuxJe pense à ces saintes amoureuses
de Jésus leur Dieu comme Thérèse d'Avila
Je pense à Éros qui décoche ses flèches à tous
Aussi bien les mystiques désincarnésJe me dis que les putains sans illusions
Elles se font violé sans avoir ses désirs
Les vrais amours, ils construisent des histoires
Où il est question de partages
Éros est un ange sans religion,
Éros pense à tous, Éros pense aussi à vous...
Il tire sur les saints et sur les salauds...
Sur tous les hommes et toutes les femmes...Éros ! Il n'a pas de préférence
Choisir entre le ciel ou l'enfer
Moi Je me voue aux seins
Des saintes, parfois enceintes
Je me moque de ces curés
qui n'ont pas de femmes à caresser
Car cela est aussi des mensonges,
Et je sais bien toute ma solitudeCar pour eux, les amours ce ne sont
que des fantasmes idéalisés,
Et ce n'est pas la lourdeur
de la chair avec tout son poids de destinéeÉros est un ange puissant
et il travaille si bien trop facilement
il lance sa flèche au plus intime
même quand vous vous croyez blindéÉros c'est un ange païen...
C'est l'ange du désir, l'ange des tourments
Un désir qui vient et qui s'impose
Entre un homme et une femmeBruno Quinchez Paris le premier novembre 2005 et Paris le 30 mars 2021
Il es à savoir que ma mère elle est morte le 5 novembre 2005 -
Belphégor
- Le 26/03/2021
- Dans Psychologie de Bazard
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Belphégor
Ce soir du 19 juin 2005 vers 19h 26 ligne 2
Au Métro Père Lachaise Direction Nation
J’ai croisé Belphégor une non-femme
Dans un Tchador tout noirUne non-existence dans un non-habit
Et une propriété privée absolue
Avec l’hygiaphone nécessaire
Pour protéger des postillons
De ces chiens d’infidèles
Je me suis surpris à dire :
Mon Dieu ! Quelle horreur !
Ce truc noir qui est là devant moi
Nota bene J’ai déjà vu des femmes voilées
Des fois des mines renfrognées mais un regard
Même quelques fois coquettes
Avec des voiles multicoloresMais là un voile tout noir de la tête aux pieds
Et là ! Non ! Je vous dis la grille cadenassée
Ma mère autrefois à l’église portait un voile
Mais des femmes-prisons,
Je n’en avais jamais vu avant
Que les ayatollahs qui se proclament
Qu'ils gardent pour eux leurs merdes !
je me disais que J’aurais voulu parler avec Belphégor
Mais elle montait et moi je descendaisEt elle est partie avec sa prison portable
Nota Bene Belphégor pour les gens
Qui sont maintenant âgés
d'un peu moins de 55 ans
C'est un traumatisme de jeunesse
De beaucoup de jeunes français françaisesUne émission en N&B
qui est passée en 1965
à la Télévision Française
dans une histoire très romantique
Ou il y avait une femme Juliette Gréco
qui était Habillée dans un habit tout noir
un fantôme masqué Dans un Louvre très sombre
et qui était quasi vide dans la nuitBruno Quinchez Paris le 19 juin 2005 et mis sur le site le 26 mars 2021
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la saison douce
- Le 25/03/2021
- Dans Psychologie de Bazard
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La saison douce
J'aime bien voir la nature
Quand elle est tendre et libre
Dans un poème qui se veut léger
Ce printemps qui nous va bienLe soleil brille en ce moment
le fond de l'air, il est assez frais
Bientôt des fleurs toutes épanouies
C'est la saison qui nous veut celaBruno Quinchez Paris le 25 mars 2021
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Vieillir ? Oui ! Mais comment ?
- Le 21/03/2021
- Dans Psychologie de Bazard
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Vieillir ? Oui ! Mais comment ?
On me demande de temps en temps mon âge,
Physiquement, j'ai 69 ans au compteur
mais dans la réalité en 5 ans, qui passent trop seul
J'ai pris un nombre considérable d'annéesCar avant j'étais plutôt calme comme un cœur amoureux
Et j'avais l'esprit libre et le coeur tellement léger
oui ! Maintenant qui vient je me sens plutôt vieux,
Un gars beaucoup trop seul et un corps assez abiméJ'ai connu le fol amour, d'une dame
Et pour cela je me croyais immortel
rêver que le monde m'appartenait,
Et que toutes choses elles étaient facilesHélas moi ! Un vrai fou que j'étais, je ne pus l'épouser
Ma déesse, elle n'était qu'en son temps du passé
La vie qui nous sépara et elle en épousa un autre,
J'ai vécu une vraie solitude, sans vraiment chercherPuis ! Je la revis quelques trente ans plus tard
En 2002 cela chez sa mère à Marmande
J'avais écris à sa mère pour avoir de ses nouvelles
Sans trop croire à son amour de mon passéje me disais que cette dame de mes pensées
Elle m'avait sûrement totalement oubliée
Oui ! Je fus assez déçus en l'écoutant au téléphone
Elle avait une voix rauque et un peu casséeBref elle avait une voix que je n'aimais pas vraiment
Une voix rauque de crieuse avec tous ses lycéens
Je n'imagine pas vivre une vie avec de genre de dame
Vivre à deux, mais vouloir rester tendre ! Comment y croire?La discipline avec les enfant des classes où on enseigne
Cette chose qui est assez mal vécue, chez tous les enseignants
Qui font face à des gamins dans des cours pas toujours faciles
Certes je sais que je ne l'ai revue qu'en lui parlant au téléphoneEt elle m'a déçue par sa voix assez rauque de prof de lycée
Je ne sais pas dans mes amis que je fréquente dans les poètes
De ces des choses qui soient plus tendres qu'une belle voix
Mes amies poètes elles restent tendre dans le coeurEt la voix qui dit des poèmes La douce voix féminine
elle inspire des grands poème d'amours immortels
Mais une voix rauque de gueuleuse depuis trente ans
Cela me dit un vécu du quotidien pas toujours sympathiqueet la déesse que j'aimais elle était alors pour moi morte,
Les histoire du passé, elles supportent mal les réalités du présent
Je ne sais pas plus pour sa vie avec son bonhomme
Les gens que je connais ce n'est pas toujours facileIl ne reste plus qu'une femme qui est plutôt ordinaire
avec des ambitions toutes ordinaires, avec ses enfants
Un vécu pour moi lointain pour un quotidien ordinaire
Savoir vivre les choses les plus banales de nos viesSi la foudre, elle vous tombe parfois dessus,
Prenez-en votre partie mais malheur à vous
Si vous ne l'embrasser pas pour l'éternité
je me disais : Non Bruno! Tu as voulu rester libreParmi ces choses que je ne fis pas à temps
Mais celle là marqua mon cœur vivement
dans toutes celles-là que je vis, dans ma vie
Je recherchais à nouveau ce coup de foudreet je ne tombais que sur le quotidien,
un quotidien sans ambitions et sans rêves
j'ai aussi crée un amour sans le vouloir vraiment
Cet amour vers moi venant chez une autre femmeMais elles ne m'inspirait pas le désir de ma déesse
je me sus aimé d'elle que tard par des œuvres discographique
Mais tout cela je ne le sus que longtemps après sa mort
Danièle tu me dis "je t'aime !" alors c'est pour moi aussiEt cela ne me satisfait pas, j'aimais une déesse
Car elle me reste encore cette inconnue
et je fus aussi un Dieu pour une autre
mais jamais le Dieu et la déesse ne se rencontrèrentL'amour fol est un amour fort qui vous rends surhumain
mais l'amour que j'avais pour l'une ici où j'aimais
mais ce ne fut pas hélas pour moi l'amour
Que me porta l'autre là où elle m'aimaitje vieillis ainsi sans haine, ni amour, sans ce désir
De vivre cet infini et de partager son temps
Hélas pour moi vieux machin, je n'ai pas vécu cette vie
Et ni la joie, ni l'amour, je deviens un vieillard sans avenirSi la foudre tombe a vos pieds... Soyez attentif! et évitez là
Embrasez-vous sans fin mais éros il est joueur et taquin
celle que j'aimais, elle était ma déesse
celle qui vous éclaire le coeur et l'âmeEt l'autre qui m'aimait,j'étais son Dieu pour des histoires vécues
Mais ce n'était ni elle, ni l'autre.j'ignore des femmes dans ma vie
Celles que j'ai croisées autrefois elles restent de vrai mystère
Je sais celles que j'aime, mais je sais aussi des absencesLe ciel tout là haut, il me dit des histoires anciennes;
et il me guérit de mon doute, je ne sais plus mes amours
Je regarde dans mes frères et sœurs ,il y a beaucoup de divorcés
Je ne saurais faire de jugement; la famille qui reste complexesDans le temps de ma jeunesse mon adolescence et peu de séparés
Soixante huit il nous enseigne une Liberté trop matérielle
Je me dis parfois ai je vraiment choisi ma vie du présent
celle de mon quotidien banal;Je me rappelle de choses bizarresToute celles que j'ai vécues dans mon passé
je sais seulement que se sont des fait écrits dans ce monde idiot
Je ne me suis jamais pris pour un prophète, je ne suis pas assez dingue
Pour moi ! La Bible m'emmerde...Et il n'y pas de certitudesDans la Bible le futur de la Terre qui est enseigné dans des textes
pour moi je ne crois plus aux prophètes qui sont trop concernés
Car on peut voir en y lisant les textes de la Bible ,
une Terre qui est détruite et le choix des soucoupe volantesNon ! vous savez la Terre, ce n'est pas une propriété privée,
Mais un lieu où les vies différentes se multiplient et prospèrent
Il n'est rien dit sur les vies des baleines de toutes les vies
Je ne sais que dire sur les histoires qui sont prétendues vraies dans la BibleBruno Quinchez Paris le 21-23 mars 2021 le début du printemps
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Sur l'écriture
- Le 06/03/2021
- Dans Psychologie de Bazard
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Sur l'écriture...
Écrire, écrire comme un forcené
Se battre contre l'entropie
Ne pas se prendre pour Dieu
Connaitre ses limites, improviser,Se savoir mortel et l'accepter
Se vouloir immortel et le parier encore et toujours
Jouer avec les mots penser et vomir
Cracher son venin et se laisser aimerAimer la vie mais ne rien attendre
Fausseté de soi même, se prendre pour un géant
Et avec les copains, refaire le monde
Se foutre des hommes de pouvoirsSubvertir les pouvoirs par la passivité
Ne pas violer le peuple, le prendre par la main
Ne jamais donner de directives
Mais être capable de donner un sens à la vieNe pas jouer les prophètes
Mais créer un monde de prophètes
Tous aussi libres, les uns que les autres
Ne rien renier, ni Dieu, ni le doute,Savoir son destin, et l'accomplir
Etre fidèle, et aimer
Jouir du présent, et penser aux futurs
Refaire un passé meilleurSe souvenir, de la mèmoire des étoiles
Et avoir les pieds sur Terre
Les pieds dans les sillons que l'on creuse
Fertiliser les futurs, et attendre les moissonsLaisser les anges, se taper sur la gueule
Satan contre Gabriel, un vrai monde de cons
Abattre le dualisme, et tout prendre
Le Bon et le bien, le Mal et la douleurCependant vivre plein d'espérance
Réconcilier l'homme avec lui-même
Lui dire qu'il n'est pas mauvais, ni bon
Mais qu'il est simplement humainCe foutre de merde d'homme
Celui là qui est vous ou moi
Laisser le temps qui vas
Croire ou ne pas croire ?Bruno Quinchez Paris le 10 juin 2005
quelques ajouts. le 6 février 2021 -
Des riens...
- Le 13/02/2021
- Dans Psychologie de Bazard
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Des riens
Parfois je vois des petits riens
Qui sont des choses poétiques
Des presque riens que vous lancez
Sur le site où je vous lisJe me tais ! c'est mon silence
Oui je suis votre lecteur
Et je le Vous le dis encore
C'est toute la vie qui vaLes mots qui disent la tendresse
Avec cette vie très vivante
Y aurait il un lieu où vous êtes ?
Et qui nous échappe vraimentSur internet je lis des choses variées
J'ignore si un poète, il me répondra
Mais je sais aussi que vous m'aurez lu
Les mots qui vont et qui viennentCes quelques petites choses écrites
Et qui sont parfois très inédites
Mais où estes vous donc passé?
vous me manquer, trop absentBruno Quinchez Paris le samedi 13 février 2021
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Silence...
- Le 07/02/2021
- Dans Psychologie de Bazard
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Silence...
Je me dis en moi même que Je préfère me taire
Mais vous mêmes; y verrez-vous un vrai mystère ?Bruno Quinchez Paris le 7 février 2021
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savoir se taire
- Le 30/01/2021
- Dans Psychologie de Bazard
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Savoir se taire...
Ne rien vous dire, vouloir restez très calme
Vouloir se taire, se laissez vivre sa petite vie
Alors faire silence se taire, écouter la vie
Et laisser vivre le monde qui nous entoureFaire un grand silence tranquillement vivre
Ne pas se soucier vraiment de notre monde
Ne rien se dire se tous ces mots incroyables
Savoir vivre sa vie et la laisser évoluerQuelques fois; je pense qu'il faut se dire aussi
Où estes-vous donc passés, Vous tous absent
Vous Tous ces bavards que je lisais sur TLP
Le temps qui passe c'est fait ces petit riensQuelquefois je pense en moi-même
Vivrais je maintenant de ces choses inédites
Toutes celles-là, qui nous sont parfois dites
Dans ce monde de bavards sur les site d'internetSavoir aimer Le temps qui s'en va sans suite
Il est parfois je le pense beaucoup trop léger
Et c'est bien celui là qui vient Nous parler
J'ignore entre celui qui cause et ce qui est ditVivre sa vie très banale comme un vrai silence
Penser à des amis; ceux là qui sont bien trop absents
se sentir vivre une vraie solitude de gars trop seul
Y aurait il un amour très fort qui se cache ?Parfois je sais de ces choses assez folles
Entre des dames que j'aime beaucoup
mais qui me manque par leurs absences
Ma vie reste une grande solitude.Demain qui vient le trente et un janvier
J'aurais un an de plus soient soixante neuf ans
Je me sens vieux ! Oui je vieillis vraiment
Quelques petit ennuis qui me turlupinentJe ne sais pas ce que je serais dans dix ans
Je fatigue beaucoup et de mauvaises impressions
Entre des maux au dos et des pertes de mémoires
Le temps qui vient je sais toutes ces petites emmerdesBruno Quinchez Paris le 30 janvier 2021
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Un vieux, et un nouvel an...
- Le 25/01/2021
- Dans Psychologie de Bazard
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Un vieux, et un nouvel an...
Un vieillard en bout de course qui attendait
Il attendait le jeune enfant qui le remplacerait
Il avait fait son temps entre tracas et attentes
Et même, il y avait eu des choses pas marrantesDans sa jeunesse, il vit mourir douze journalistes
Puis dans sa vieillesse ce furent des terroristes
Il eut très chaud pendant la canicule de juillet
Tandis qu'un mois de décembre qui restait douilletIl y avait quelques uns qui espéraient un travail
Tandis que d'autres avançaient dans la mitraille
Un état se créait là-bas avec des morts et de la folie
Tandis que d'autres, nous parlaient de climat et d'écologieNon ! Je ne savais où donner de la tête, deux mille quinze finit
Que sera ce jeune enfant qui vient ? C'est encore un défit
C'est une année qui meurt et cette nouvelle année qui nait
Demain reste demain, je sais la vie, celle qui me prenaitJe sais bien ce jour qui vient, je sais aussi le jour qui passe
J'ignore ce qui nait là, tout ce qui maintenant trépasse
Une bonne et heureuse année en deux-mille seize à vous tous
Moi! J'espère encore! Demain! Je le sais, il est aussi à nousBruno Quinchez Paris le 30 décembre 2015
Mis sur le site TLP Paris le 25 janvier 2021 -
Quelques Riens....
- Le 24/01/2021
- Dans Chroniques des temps qui passent
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Quelques Riens
Les mots qui viennent ici
Et qui passent lentement là-bas
Quelques-uns qui me disent
Toutes ces vies ordinaire d'un vécuEntre des histoires d'animaux sages
des petits riens de son quotidien
Caresser minou et le laisser vivre
Quelques fois le voir parti au loinDans quelques lieux bien mystérieux
Un Chat de gouttière, ou un chat casanier
Le voir vivre, dans toute sa vie de chat
Mais ignorer toutes ses victimes tuéesIl est vrai que notre doux minou
C'est aussi un grand chasseur
des petites bestioles assez fragiles
Entre des souris qui sont dans les herbesEt des oiseaux qui sont tous gris
Ceux là qui vivent dans des parcs
Ceux de notre ville au quotidien
Entre des trottoirs très encombrésJ'aime bien ces chats qui passent
Je les caresse avec de là tendresse
Même si parfois, ils sont des vrais tueurs
je les aime mieux que les chiens qui aboientLa nature ou je vis, elle me dit aussi
Que les chiens sont trop apprivoisés
Tandis que les chats, ils s'imposent à nous
Sans qu'on puisse vraiment les refuserCurieusement je les préfère ces chats
Les chiens, ils sont certes très fidèles
Mais je ne sais jamais en les voyant
Si ces deux là ils peuvent vivresans nous ces humains Bizarroïdes
dans des bicoques assez grises
Dans la ville où nous vivons
Dans des ensembles en bétonParfois je vois des disputes assez fortes
Entre ces deux bestioles de mon quotidien
Pas facile de partager nos vies entre ces deux
Des bestioles de nos vies bien ordinairesBruno Quinchez Paris le 24 janvier 2021
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Bavardages....
- Le 20/01/2021
- Dans Psychologie de Bazard
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Bavardages...
Comme je descendais à pied de chez moi
Je ne me pris plus vraiment, cela je le crois
Pour un poète trop bavard et qui serait connu
Il y avait de ces mots qui fleurissaient en moiCela dans tous les petits riens de ma vie de solitaire
Tous ceux là que l'on écrit sans vraiment y réfléchir
Certes sans doute en y songeant dans les nuits
Peut-être que Je n'étais pas meilleur que vous autresMais je mettais mes petits mots que je choisis
Avec tout Plein de ces choses qui m'appartenaient
Je babillais des mots bavard sur mon site internet
Il parait que la poésie, C'est toutes ces embrouillesDans un grand désordre qui est parfois mal compris
Cette vie qui continue chez-nous, elle était bien là
Le ciel, il changeait peut être, entre toutes les pluies
Et un soleil beaucoup trop chaud celui qui nous brulaitJ'étais un gamin bavard et peut être pas trop sérieux
Je me moquais de ces apparences parfois perçues
Peut être étais-je ainsi vu comme un poète disert
Ce gars qui est bien trop prolixes et pas très sérieuxil ya ce silence que je percevais en moi-même
Il me disait aussi quelques réalités banales de ma vie
Y aurait il un écrit Inédit qui reste le seul parmi tous
j'avais ce courage de me taire; Ce silence quelques foisLes écrits que je fais Ils sont bien sûr que les miens
J'ignore ce qu'ils seront dans un futur proche qui viendra
Il n'ya pas de choses à écrire dans ma petite vie
entre celle là qui vous accroche et tous que vous aimezCes mots la que je vous dis là, sont-ils bien sérieux ?
Ma bibliothèque, elle reste pleine de poètes très divers
Je ne sais que dire sur ces gens là qui me causent
le ciel est parait il fait avec des myriades d'étoilesUn enfant quand il est jeune, il ne sait pas tous les mots
Cela lui vient en nous disant quelques petites histoires
Y aurait il des choses que je ne connais pas vraiment
Je ne suis plus un enfant mais je ne sais pas demainBruno Quinchez Paris le 20 janvier 2021
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Couleurs...
- Le 19/01/2021
- Dans Psychologie de Bazard
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Couleurs
Blanc silence des hôpitaux
Blanc vierge d'une neige
Tir à Blanc, sans conséquenceNoir dans une tombe vide
Petit Noir café de Colombie
Noir minuit sonnant la nuitRouge un interdit violent
Rouge le sang de la vie
Feux rouge bien chaudVert l'herbe qui se broute
Vert l'espoir, islam et écolo
Vert cette couleur sourdeBleu tes yeux que j'aime
Bleu le ciel que je vois
Bleu l'enfer, des attentatsJaune étoile déportée
Jaune la bile et tes soucis
Jaune d'or, le soleil le soirViolet invisible révélé
Violet de peaux exsangues
Violet, la violette sans prétentionMarron, une couleur peu aimée
Marron, l'homme d'afrique
Marron, le bois de teckOrange, une terre surréelle
Orange, un soleil couchant
Oranges, des vieilles étoilesGris d'un ivrogne dégrisé
Gris d'un ennui quotidien
Gris entre Le noir et Le blancBistre une peau d'Asie
Satin une peau encore
Albâtre une côte hauteRose, un cochon gras
Dorée, vie d'un pacha
Argentées les tempes de Bill GâtesBruno Quinchez Paris Le 8 mai 2005
Mis sur le site le 19 janvier 2021 -
Rien
- Le 14/01/2021
- Dans Psychologie de Bazard
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Rien...
Il n'y avait plus rien
Mais il ne s'en apercevait pas
Quelques mots lui suffisaitIl ne savait que dire
Dans ses faits vécus
Ceux de sa vie trop calmeIl y avait un vrai manque
C'était comme une absence
Celle de tous ces petits riensBruno Quinchez Paris le 14 janvier 2021
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Pr'éventions ???
- Le 08/01/2021
- Dans Politiques, Philosophies et débats
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Prévention ???
J'entends dire des choses sur le covid-19
Et tout ce qui est prévu pour y faire face
C'est assez dingue d'après ce que j'entends
Je ne sais pas, si c'est vraiment raisonnable
Des histoire parfois trop dures à vivre
Je ne sais pas c'est qu'est une contamination
Mais j'entends plein de choses assez follesBruno Quinchez Paris le 8 janvier 2021
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Propos sur le temps qui passe 07-01-2021
- Le 07/01/2021
- Dans Chroniques des temps qui passent
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Propos sur le temps qui passe
Je ne sais pas ce que sera demain,
Je sais tout ce que j'ai fait
Je me soucie peu de mes souvenirs
Y aurait il des choses que vous aimez
Qui soient vraiment écrites donc lues,
Je sais seulement tout ce que j'aime
Choisir tous les choix que nous avons
Dans nos vies ordinairesIls sont tous innombrables
Et ne pas y voir que ce destin cruel
Mais se sont des choses permises,
Dans ce demain qui n'est pas encore
Je sais ainsi de nombreux lendemains,
Parfois je me dis en moi-même
Que je ne sais pas quoi en penser,
Nous sommes déjà le sept janvierLe temps qui passe trop inexorable,
Le 31 janvier j'aurais un an de plus
Deux plus deux font quatre,
Mais certes avez vous compté vos cheveux
Mais quand il s'agit du temps qui passe,
Ça m'interpelle sur notre futur...demain ?
Quelques riens dans ma vie personnelle;
Se sont des choses importantes pour moiComme les souvenirs de bons amours,
Le temps d'autrefois où je vivais solitaire
C'est celui d'un vécu de mon passée
Mais ce n'est pas que ce passé
Qui serait trop mal vécu
Car j'ai eu des deux parents
Que j'aimais beaucoup ,
Hubert et GermaineIls ont eu tous les deux ensemble
Une famille assez nombreuse,
Soient dix enfants, entre mes frères et sœurs
Et tout cela c'est une chose
Des années cinquante et soixante
Une vie de famille qui est très commune
Je ne sais pourquoi, moi je suis resté seul
Je me souviens de quelques femmesQui étaient plutôt sympathiques
Parmi toutes celles-là que j'ai vues
De toutes ces femmes que j'ai très aimées
Ma vie elle reste une solitude
Que je n'ai pas partagée
Juste des question de sous
Qui me manquaient souvent
Dans ce monde trop cruelQui reste assez dur pour les pauvres
Je ne sais pas si j'ai pu choisir vraiment
Dans ma vie bien trop banale
Dans les choses physiques
De mon ordinaire, celui que j'ai vécu
Et qui ne sont pas toujours sympathiques
Je sais seulement en fait
Que j'ai eu quelques emmerdes dans ma vieUn jour qui vient, je sais
Que je vais disparaitre et alors ?
Surtout ne pas se croire immortel,
Et savoir vivre toutes ses fragilités
Un ciel qui me dit parfois
Toutes, ses étoiles innombrables
Tout là-haut dans ces lumignon
Notre terre elle est surpeuplée;Avec sept milliards et demi d'humains
Demain qui vient je ne sais pas
Je n'ai pas d'enfant c'est un fait
Puis de nos jours que je vis
J'entends dire des choses
Qui ne sont pas trop sympathique
Pour nos lendemains,
Il faudrait des chosesQui soient plus vivantes
Arrêtons avec les histoires de sous,
Et essayons de vivre avec son voisin
Il n'est dit nulle part
Que nous sommes meilleurs
Que de supposés extraterrestres
La vie je le pense et je le dis,
Cela reste un partage de viesEt non pas qu'une économie
Je suis ce gars que je suis
Il est beaucoup trop fragile
Les poètes, qui papotent
Ils restent des tendres
Quelque fois j'aime ces petit rien
Que sont les mots que l'on balance
Sur internet ! Ce grand machin bavardBruno Quinchez Paris le 7 janvier 2021 et le 9 janvier 2021