Poésies diverses et variées
-
Propos sur le Vrai
- Le 06/04/2021
- Dans Poésies diverses et variées
- 0 commentaire
Propos sur le vrai
Qu'est-ce donc que la vérité ? Un choix personnel
Mais Voilà aussi un concept qui est très diversifié
On ne dit pas tous les mêmes choses dans nos vie,
Le concept de mal, il n'est pas vraiment uniqueCar ça nous donne des disputes sur ce sujet
Le concept d'ordre, celui que vous dites vous même
Il est à vivre et à partager, entre nous tous ici et là
je pense parfois à la grande nature sauvage sur la terre
Et la myriade de vies, toutes celles qui partagent notre terre
Il n'y a pas de lois qui soient uniques nous devons, nous adapter à tout
Les lois de la vie ce sont le respect et le partage Par des choix personnel
Je me dis que ma vies ce n'est pas la votre mais ma petite vieLa vérité pour moi c'est de savoir partager entre tous
En aimant tous ceux dans ce monde e que nous vivons ensemble
Il n'est dit nulle parts que nous sommes des gens bons ou mauvais
Je sais seulement des disputes sur des petits riens d'un vécusJe crois en dieu, je me dis que dieu c'est très complet à vivre
je vous sais athée par dépits les curé ne vous parlent pas
Oui Dieu n'est pas cette chose que vendent les curés
Si je perds la foi c'est parce que certain curés agissent malPerso si je perds la foi c'est un mauvaise impression de mon vécu
On ne surveille pas ses sous qui sont dans un tronc de quête
je me dis que pendant une messe où l'on prie on ne pense pas aux sous
J'ignore combien gagne un curé et comment il gère ses sousParfois je me dis La terre nous oublie et nous sommes ailleurs
Mais ce curé radin qui est beaucoup trop proche de ses sous
Celui qui a policé ce mendiant détrousseur pendant une messe
Il m'a fait douter Pour longtemps de ce monde meilleur,Un monde imaginaire où les curés sont des anges
Je me souviens de quelques histoire de mon passé
Avec des curés que j'aimais car ils étaient proches du social
Nous étions dans une mairie communiste; le social s'imposeLe ciel parfois, il me dit que ce ne sont que des petits rien
Des choses qui ont très tendres dans une vie commune
Je sais mon doute, celui qui me travaille le cœur
Et je sais ces petites choses du partage de ma foiLe silence que je vis dans chaque jours qui passent
C'est aussi une absence de mon passé qui était très tendre
Je ne sais que dire de cette dame Danièle connue comme chanteuse
Elle qui me disait qu'elle m'aimait vraimentBruno Quinchez Paris le 6 avril 2021
-
Ce Temps d'Avril
- Le 06/04/2021
- Dans Poésies diverses et variées
- 0 commentaire
Ce Temps d'Avril...
J'aime bien les roses, elle sont assez sympathiques
Mais je sais peu de choses sur ces fleurs
Il ya cinq ans j'avais des roses greffons
Mais elle ne duraient pas longtempsA savoir que ces roses que je cultivais
Ben ça supporte mal la taille dans des pots
Je ne sais que dire sur les roses entières
Je me suis mis à d'autres fleurs en potses azalées blancs et roses que je garde
Ce sont des fleurs qui craignent le froid
Alors en ce moment et les froideurs du temps
Je les rentre chez moi et je les protègeLe temps d'avril est lumineux mais froid
Je ne sais vraiment que faire avec ces fleurs
Les rosiers, ils ne craignent pas le froid
Mais pour les azalées je fais plus attentionJ'attends encore un mois avant de les sortir
Ils annoncent des fraicheurs en ce mois d'avril
La lumière c'est bien mais sans le froid
il ya huit jours 25°c mais ça retombe à zéroBruno Quinchez Paris le 6 avril 2021
-
Mon ciel étoilé
- Le 28/03/2021
- Dans Poésies diverses et variées
- 0 commentaire
Mon ciel étoilé...
La nuit qui passe
Je sais un ciel étoilé
mais je ne sais pas
toutes les étoilesPeut-on nommer
Toutes ces choses
Qui sont dans le ciel
Et toutes des nomsAlpha du centaure
Une étoile très proche
Qui me dit, cet inaccessible
Pour nous les humainsParfois je les regarde
Dans mon ciel Parisien
Et je me sais trop limité
Dans un Paris trop lumineuxJ'aime aller à la campagne
Dans la maison de famille
Et de belles obscurités
Pour mieux les apercevoirBruno Quinchez Paris le 28 mars 2021
-
Méditation tranquillle
- Le 05/03/2021
- Dans Poésies diverses et variées
- 0 commentaire
Méditation tranquille
Je m'étais allongé là sur mon lit,
Je rêvais sur mon lit, sans dormir
Et je méditais sur le temps
Celui qui passe chez moi, chez vousJe ne savais pas où ils étaient
Tous mes voisins proches et silencieux
Nous sommes dans un monde confiné
Et qui reste beaucoup trop calmeJ'ignore le coronavirus,
Non! je n'aime pas ce délire qui s'impose
je pense à une copine;
Parmi toutes celles qui restent seulesElle ne peut accueillir
En ce moment tous ses amis peintres
Peut être alors lui reste-t-il ?
Quelques idées poétiques pour vivreJe sais que pour s'occuper
Elle fabrique des bouquins
Mais je ne sais pas vraiment
ce qu'ils deviendront plus tardDans mes amis peintres
je sais aussi des solitudes
Personnellement moi le Bruno
je suis un vrai solitaire,Oui ! Cela je le sais
Quelques temps vont passer;
C'est à voir pour demain
Je ne sais pas, si vous avez des amisCeux-là qui vous sont proches
Parmi vos copains copines
Qui restent lointains
Dans ce monde de dinguesJe sais seulement le vécu
de cette mauvaise réalité du coronavirus
Le temps ça reste un vécu
que l'on partage entre nousLà ! Moi; je ne sais que dire
parfois je songe à des amies proches
La lumière est ! Vous sauver
elle n'est pas toujourssans quelques regards partagés
Il est des riens dans des regards
Qui nous rappellent des amis
Tous ces copains copinesJe me mets en ce moment
à vouloir téléphoner, a ma famille
Je suis peut être une vieille chose,
je n'ai pas d'enfants et je suis bien seulMa poésie parfois je le sais
Elle vous dit quelque riens
Qui sont écrits dans des passage
J'ignore où vous êtes !Cette poésie bavarde
elle me dit des amies
et je sais, mes amis lecteurs
Ceux qui me lisent aussiJ'espère, c'est ma vie,
mais personnellement,
moi je n'en sais pas plus
Je sais de ces riens vécusLe printemps qui vient bientôt,
oublions le confinement
et regardons les fleurs
qui fleurissent au printempsLe silence est parfois vécu
comme de vraies absences
Parfois il nous fait beaucoup trop mal
Avez-vous ce rien qui manque ?Le printemps qui vient bientôt
Il me dira des fleurs épanouies
Le soleil sera un peu plus chaud
Et la lumière sera plus forteBruno Quinchez Paris le 5 mars 2021
-
Quatrain philosophique
- Le 03/02/2021
- Dans Chroniques des temps qui passent
- 0 commentaire
Quatrain philosophique
aujourd'hui je ne sais pas
Alors je préfère me taire
il y a des réalitées du quotidien
Qui nous échappent sans douteBruno Quinchez Paris le 3 février 2021
-
Poème...
- Le 01/02/2021
- Dans Poésies diverses et variées
- 0 commentaire
Poème du premier février 2021
J'aime parfois en vous voyant pouvoir vous dire
Il y a sûrement dans toutes ces belles choses à lire
Des myriades de choses entre celles que j'aime écrire
Des petites choses entre des myriades qui sont à se farcirVous saurez peut être que quelques fois je vous entends
Des blablas que vous écrivez entre tous les mots du présent
Il faut savoir choisie entre l'histoire des mots marrants
Et quelques petits riens, tous ceux que font les enfantsIl y a aussi cet examen permis et qui est obligatoire
Pour les petites choses, ces petite riens de l'histoire
Vouloir faire un poème sur un bon regard et un miroir
Choisir entre ma vie le jour et parfois être dans le noirIl y a bien quelques enfants qui étudient la poésie
Dans un présent, sans vraie réalité littéraire, et une calme vie
Parfois crever en solitaire, dans les myriades de trucs inédits
Tranquillement se dire que demain qui vient sera ton créditSavoir que le silence de nos vies, c'est bien cette poésie
Mais y aurait il quelque mots, tous ceux de notre ami
Ces mots de tous ces poètes qui causent le jour la nuit
Je pense à un petit enfant qui me dit tout ce qui suitLes brume de novembre qui passent et disparaissent
Le mois de janvier et toutes mes années qui passent
Le temps parfois, il se moque des histoires cocasses
Hier j'ai eu un an de plus, toutes mes années que j'encaisseBruno Quinchez Paris le premier février 2021
-
Des Quatrains
- Le 25/01/2021
- Dans Formes courtes... Haïkaïs et Tercets
- 0 commentaire
Des quatrains...
Un crocodile qui pleure
Et un oiseau qui rigole
Ignoraient ces petits riens de la vie
qui font un petit poèmele ciel tout la haut
Qui murmurait des mots
Cela entre deux extras
Ces enfants beaucoup trop sagesLe brouillard qui tombe
En ce début de janvier
ça me disait de ces choses
Qui sont trop mal vécuesJe ne sais pas trop vraiment
Vous-dis je un peu inquiet
Etait-il bien en ce jour
Encore bien vivant ?Un oiseau de mon Paris
Qui est là sur le trottoir
Picorait des miettes
Dans les vases closBruno Quinchez Paris le 25 janvier 2021
-
Le temps qui passe... 24-01-2021
- Le 24/01/2021
- Dans Chroniques des temps qui passent
- 0 commentaire
Le temps qui passe...
Un jour qui vient
Puis un jour qui va
Le temps qui passe
Nous parle à nous
De notre quotidien
Et de ces petits riens
Qui font nos vies
J'aime ma soeur
Qui me téléphone
Pour me prendre
Quelque nouvelles
Je lui cause bien
Parfois Je me dis
En vous lisant ici
Comment allez vous
Vous que je lis parfois
Il y a des choses bizarres
Et aussi quelques absences
Quelques gens me manquent
Pas envie de faire sans vous
Bruno Quinchez Pars le 24 janvier 2021
Dans une semaine, le 31 j'ai soixante neuf ans -
Sur l'écriture...
- Le 23/01/2021
- Dans Poésies diverses et variées
- 0 commentaire
Sur l'écriture...
Écrire, écrire comme un forcené
Se battre contre l'entropie
Ne pas se prendre pour Dieu
Connaitre ses limites, improviser,Se savoir mortel et l'accepter
Se vouloir immortel et le parier encore et toujours
Jouer avec les mots penser et vomir
Cracher son venin et se laisser aimerAimer la vie mais ne rien attendre
Fausseté de soi même, se prendre pour un géant
Et avec les copains, refaire le monde
Se foutre des hommes de pouvoirsSubvertir les pouvoirs par la passivité
Ne pas violer le peuple, le prendre par la main
Ne jamais donner de directives
Mais être capable de donner un sens à la vieNe pas jouer le prophète
Mais créer un monde de prophètes
Tous aussi libres, les uns que les autres
Ne rien renier, ni Dieu, ni le doute,Savoir son destin, et l'accomplir
Etre fidèle, et aimer
Jouir du présent, et penser aux futurs
Refaire un passé meilleurSe souvenir, de la mémoire des étoiles
Et avoir les pieds sur Terre
Les pieds dans les sillons que l'on creuse
Fertiliser les futurs, et attendre les moissonsLaisser les anges, se taper sur la gueule
Satan contre Gabriel, un monde de cons
Abattre le dualisme, et tout prendre
Le Bon et le bien, le Mal et la douleurCependant vivre plein d'espérance
Réconcilier l'homme avec lui-même
Lui dire qu'il n'est pas mauvais, ni bon
Mais qu'il est simplement humainCe foutre de merde d'homme !
Bruno Quinchez Pars le 10 juin 2005
Mis sur le site le 23 janvier 2021 -
Aujourd'hui vendredi 13 mai 2005
- Le 22/01/2021
- Dans Chroniques des temps qui passent
- 0 commentaire
Aujourd'hui vendredi 13 mai 2005
Non ! Je ne caresserais pas
Des chats noirs dans ma rue
parce que je suis assez seul
Et que je n'en connais pasje passerais peut-être
Sous une grande échelle
Sans y faire très attention
En allant me balader
Parce qu'en ce moment
chez moi y a des travaux
mais vous savez aussi
Je ne sais trop bienQu'il est parmi ce passage
et cela que pour des jeux
De gamins assez rigolos
Dans des chantiers présentsDonc pas plus ou moins
De chances qui soient permises
tout ça c'est que des conneries
toutes celles du quotidiensLe vécu parfois nous vient
Et il s'impose ainsi à nous
Dans des périodes ordinaires
Celle de ces vendredi 13Et vous, êtes-vous superstitieux ?
Vivre ce vendredi 13 mai 2005
Mais pourquoi pas vraiment
Car il n'y en a pas beaucoup
Puis je vais faire de la mariôlatrie
c'est pour une date anniversaire
Pour ses apparitions dans ce monde
Celui là des gens de foiMais je ne m'en rappelle plus où
La Marie elle est tellement demandée
Partout dans des petites chapelles
Elle est vraiment ce référentCelui des chrétiens visionnaires
Entre les vierges mythiques
Et des mères très amicales
Pour des petits enfantsCertes elle aime les jolies toilettes
De belles dames très habillée
Vouloir se faire belle
et changer de couleurs de cheveux
Mais jel 'aime bien la Marie
La vedette made in ciel
elle n'est pas à Cannes
Oui ! Elle préfère les lieux celtes
Et Cannes ce n'est pas un lieu celtes
Juste un lieu très bavard
Pour des gens de l'image
Marie qui reste viergeBruno Quinchez Paris le 9 mai 2005
Et remis en forme le 22 janvier 2021 -
Des horaires; entre l'hiver et l'été
- Le 21/01/2021
- Dans Poésies diverses et variées
- 0 commentaire
Des horaires Entre l'hiver et l'été
En hiver un peu comme en ce moment de janvier
Le soleil il se couche vers 17 h heure de la nuit qui tombe
Mais en été le soleil se lève vers cinq heure du matin
Bien que tout cela ne soit pas vraiment exact,
en effet les horaires, ils varient aussi un peu
Le calendrier, il s'adapte sur des périodes de quatre ans
Bruno Quinchez Paris le 21 janvier 2021
-
Que dire de certaines Choses ?
- Le 20/01/2021
- Dans Chroniques des temps qui passent
- 0 commentaire
Que dire de certaines choses ?
Chère Danielle M, Là je pense à toi ! Oui je t'aime ! Tu me dis des choses personnelles et tendres dans tes chansons, je suis sûr que ces chansons que j'écoute, elles sont pour moi, je sais un cœur et un cul en 1977, cela même si tu es très loin de moi de nos jours...,J'ai connu une dame anorexique vers cette époque de la clinique psychiatique Dupré,. un nllieu de soin pour les étudiants, elle se situe à Sceaux, je sais tes chansons qui me parlent
J'ai beaucoup d'amis poètes, parmi tous ceux que je fréquente et que je lis; ils font des livres avec leurs poèmes je sais qu'ils sont comme moi, avec peu de ventes de livres papier
J'ai quelques petits riens dans ma vie, ils m'ont beaucoup aidé, je sais de ces riens dans l'écrit, parfois ces petites choses, elles m'ont rendu très heureux parce que j'étais lus
J'ai toujours eu une tête que je pense très pleine... J'ai en moi beaucoup de choses plus ou moins évidentes, comme un bla-bla incroyable qui bavarde dans ma tête ! Oui ce sont des choses que je me sais écoutées depuis mon extérieur
J'aime Jésus le prophète très libre et celui là qui reste unique, mais je me méfie des curés, car ils aiment trop le pouvoir par l'usage de mots qui ne sont pas toujours justes, pour eux il existe aussi des mensonges sociaux, ceux-là qui nous sont imposés comme étant vrais,
je n'ai pas partagé ma vie avec des femmes, mais j'ai rêvé de quelques unes, je ne pouvais partager des réalités sociales juste une question d'un manque de sous
Je ne me suis jamais pris pour Dieu ! Je sais des fous qui disent de folies, toute cclles là qui sont dites des vérités mystiques, même si je me dis que ce monde il a bien changé...Peut-être les mots les plus simples; ils sont à dire
Je sais bien que je pourrais écrire des livres, mais je me dis aussi je ne sais pas vraiment comment gérer l'édition papier de ces livres, mes possibles acheteurs ils ont disparus
Je songe a des histoires d'amours de diverses femmes, mais je ne connais pas la femme unique, j'ai été très amoureux d'une dame pendant longtemps, mais jamais de contacts ,sauf une fois avec une copine mais ça n'a pas duré
La justice c'est cette réalité incroyable, il faut savoir qu'il existe des lois écrites et partagées, qui s'appliquent dans notre quotidien ordinaire celui de nos vécus
La vérité la plus simple, c'est d'accepter de se savoir vivant et de savoir vivre ces petites choses de la vie que l'on partage
La vérité parfois elle nous rend libre, mais je sais trop de dingues qui disent que leurs vérités personnelles en oubliant les autres
La vie parfois; elle se fait de plein de petits riens qui font notre vie sociale et amoureuses, alors apprenez à aimer ces choses là, même si ça vous questionne
L'amour il rends libre, c'est entre des histoires de culs, de tendresses partagées ou des mythes personnels d'un vécu, mais parfois c'est juste un fantasme incompris
Le mensonge le plus commun, c'est une réalité imposées à nous tous, la réalité c'est de mettre de la valeur monétaire partout dans note réalité sociale
L'église à beaucoup baratiné dans des histoire de foi, je ne sais pas que dire sur toutes les histoires de foi complexes dans des assemblées religieuses
Les mots tendres; ce sont tous ceux-là dans tous ceux qui sont dit, ça vous guérit l'âme, il n'est pas écrit de recette pour cela
Mes parents, maintenant ils sont bien trop absents, vous savez je parle peu à mes frères et sœurs... Non ! Je n'ai pas eu d'enfants et oui; je suis ce gars bizarre qui n'ose vous parlez de toutes vos histoires de familles
Oui ! Je suis trop indépendant, pour les histoires de cœur et de cul, mais je ne suis pas homosexuel, peut être il faut y voir une liberté ou un manque dans le désir qui est plutôt mal compris
Parfois j'écris de belles choses sur la vie qui va de-ci et de-là dans de belles histoires mais je me dis aussi que sur internet que tout ça ce n'est que du bruit dans un monde compliqué
Pour la vérité! Ne jugez pas une affirmation qui vous est dites, certains lui préfèrent ces mots que lon dit comme une réalité qui soit acceptable par tous donc universelle,
Quelque mots pour des scientifiques et l'usage des mots... il est à savoir qu'en science le concept de vérité, c'est cette chose qui se veut commune et qui est donc partagée, elle est parfois assez mal comprise des hommes de science qui n'applique que leurs lois... Parfois je ne comprends pas certains scientifiques !
Sans me prendre pour Arthur Rimbaud ou Paul Verlaine, je me sais poète et quelques uns de mes poèmes ils sont lus et appréciés, Puis non je n'ai pas cette folie de vouloir me comparer avec eux
Sur internet avec l'aide de mon ordinateur, j'ai écris une grande quantité de textes, et je n'ai jamais essayé d'en faire des bouquins, je me suis souvent dit que je ne les vendrais pas
Un chrétien, il peut faire confiance en Jésus mais je sais toutes les folies et guerres issues des diverses assembles religieuses pour établir la foi qui s'impose à Tous
Vous savez à vrai dire l'universel sur internet c' est devenu un fantasme, il n'y a pas de choses écrites dans ce monde bavard qui soient vraiment vérifiées sur le net
Vous savez je sais bien que je ne connais pas tous mes lecteurs et leur nombres exacts, Cela pour tous ces livres hypothétiques possibles, C'est à savoir que ce sont tous ceux que je n'ai pas écrits donc qui n'existent pas
Bruno Quinchez Paris le 17 janvier 2021 quelques changements le 19 et 20 janvier 2021
-
Des Fleurs en hiver
- Le 16/01/2021
- Dans Poésies diverses et variées
- 0 commentaire
Des fleurs en hiver
Des petites fleurs
qui sortent de la neige
Encore faut-il aussi
qu'il y ait de la neigeDes formes diverses
Dans la neige toute blanche
Elles me disent ce temps froid
Où quelque fleurs surgissentToutes Isolées et dans le froid
Dans la neige très blanche
De ce mois de janvier
Le temps du froid hiverlà Je ne sais pas trop
si elles restent longtemps
dans la neige froide
Ces fleurs des frimas blancsBruno Quinchez Paris le 15 janvier 2021
-
Comment écrire ?
- Le 08/01/2021
- Dans Chroniques des temps qui passent
- 0 commentaire
Comment écrire ?
Comment pouvoir dire
un truc immortel qui restera ?
Cela je ne le sais pas trop,
sans doute une chose commune !Ma bibliothèque,
elle est faite de beaucoup
de choses écrites
Parfois, un petit je t'aimeque je lise sur le site,
c'est bien suffisant !
Être lu ou être connu tu parles,
je sais plein de poètes inconnus…Qui sont dans ma petite bibliothèque
au milieu des poussières !
Victorugueux le bavard,
est-il vraiment un gars qui est sérieux ?Bruno Quinchez Paris le 31 mai 2020
Et remis en forme le 8 janvier 2021 -
Je vous salis ma rue.. Poème de Jacque prévert
- Le 02/01/2021
- Dans Chroniques des temps qui passent
- 0 commentaire
Je vous salis, ma rue
Je vous salis ma rue
et je m'en excuse
un homme-sandwich m'a donné un prospectus
de l'Armée du Salut
je l'ai jeté
et il est là tout froissé
dans votre ruisseau
et l'eau tarde à coulerPardonnez-moi cette offense
les éboueurs vont passer
avec leur valet mécanique
et tout sera effacéAlors je dirai
je vous salue ma rue pleine d'ogresses
charmantes comme dans les contes chinois
et qui vous plantent au cœur
l'épée de cristal du plaisir
dans la plaie heureuse du désirJe vous salue ma rue pleine de grâce
l'éboueur est avec nous.Jacques Prévert, Fatras, 1966