Nostalgie
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Silence
- Le 12/01/2021
- Dans Chroniques des temps qui passent
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Silence
Un silence en moi
Ne plus rien vous dire
Un désir de paixBruno Quinchez Paris le 12 janvier 2021
Nota Bene ma mère aurait 96 ans ce jour
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Douze jours avant Noël
- Le 12/12/2020
- Dans Chroniques des temps qui passent
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Douze jours avant Noël, une pensée pour Jésus
Je songe à un Jésus, celui là quand il était petit enfant
Connaissait-il son destin celui de devenir un prophète
Certains disent qu'il avait en lui déjà toute la sagesse
Je ne sais que dire d'un destin avec tout qu'il ya à parcourirEn vieillissant je sais mon destin et ce que moi, je suis devenu
Je ne saurais jamais pas celui que j'aurais pu être dans une autre vie
Je songe souvent au passé antérieur et ce que j'étais encore jeune
Et je songe aussi au destin divers de plusieurs hommes célèbresEntre un scientifique, un artiste, un philosophe ou un prophète
Savoir le poids des ses œuvres et tous les drames affreux causés
Moi ! J'ai fait le choix du camp des artistes qui est le meilleur de tous
Ou plutôt, c'est le plus innocent par ces conséquences sur ce mondeJ'imagine un monde sans Jésus et j'y vois que l'argent est alors le vrai dieu
Pauvre petit Jésus face à tous ces radins éternels et sans partages
Si le communisme athée, il a si bien pris dans notre monde chrétien
Il faut aussi y voir des réalités financières, de cette église qui oublie JésusPetit Jésus je t'aime ! Et je songe souvent à tous ces miséreux sans argent
Dans une crèche il manque des choses plutôt simples, mais qui sont cruelles
Comme une croix, bien solide, un instrument de la torture des esclaves romains
Les premiers chrétiens ils avaient très peur de cette croix tellement monstrueuseJésus vient donc ! Et n'oublie pas que toi ! Tu es très aimé dans ce monde absurde
Bientôt Noël en cette année 2017 avec toutes ses folies et ses guerres sans fin
Un enfant c'est une promesse pour demain, mais demain je ne sais pas ce qu'il sera
Il faudrait un peu plus d'enfants sages, que de prophètes fous, avec leurs malédictionsBruno Quinchez Paris le 19 décembre 2017
remis sur le site Paris le 12 décembre 2020 -
Noël 2020
- Le 10/12/2020
- Dans Chroniques des temps qui passent
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Noël 2020
C'est bientôt Noël qui nous vient
Mais avec le confinement aussi
J'entends dire des exclusions pour ce Noël...
Personnellement ! Moi je sais bien que je serai seul
Et parait-il pas mal de monde aussi !
Les curés, ils n'ont personne dans leurs églises
Le confinement, c'est bien un truc de dinguesBruno Quinchez Paris le 10 décembre 2020
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Demain ? Cet inconnu !
- Le 01/12/2020
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Demain ? Cet inconnu !
Le futur et ses technologies, ils nous échappent
Un ange c'est parfois un être banal mais qui est très tendre
Mais ce qui adviendra dans le futur je ne le sais pas !
OUI ce futur qui vient, il peut encore nous surprendrecela n'en déplaise aux dingues de la Bible
Les prophéties de la Bible, elles sont parfois assez horribles
quand elles nous parlent de fin du monde avec des catastrophes
Je sais Notre époque et toutes ses histoires de Covid-19Je me dis que nous vivons dans un monde sans la Bible
Nous vivons dans un autre monde que celui des prophéties
Il s'agissait de divers malheurs venant des prophéties du ciel
ou seul les gens d’Israël, ils s'en sortent plutôt bienJe me méfie de tous les prophètes qui passent dans l'actualité
Parfois je me dis quec 'est des gens qui font de la politique
Il est à savoir que demain qui vient, il n'est pas écrit
La seule vérité que je sache sur nous tous les terriensC'est que nous vivons sur une petite planète limitée
Je ne sais pas si nous irons dans toutes les étoiles
J'ignore ce que pense un extraterrestre tout là haut
Je sais seulement des myriades d'êtres vivants ici sur terreNos contemporains, Ils connaissent des technologies plus évoluées
Mais ils savent aussi que les politiques sont capables du pire
Il faut que la morale nous soit commune, avec des choix secrets
Il n'est écrit nulle part qu'il y ait une seule vérité qui s'impose à tous -
Le 22 septembre
- Le 21/09/2020
- Dans Nostalgie
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Le 22 septembre
Demain 22 septembre, c'est l'automne qui nous vient
C'est aussi l'anniversaire de mon père
il est mort en mai 2001, et là ça serait ses 98 ans
Personnellement, moi je me sens un peu seulBruno Quinchez Paris le 21 septembre 2020
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Testament
- Le 30/07/2020
- Dans Chroniques des temps qui passent
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Testament
Ce matin en me levant,
J'ai rêvé de mon père,
Qui est mort depuis le 15 mai 2001,
D'un problème au cœur
Et qui ne nous a rien laissé,
Comme testament moral écrit ou oral,
Car il ne pouvait plus rien dire,
Et écrire, cela depuis 12 ans,A cause d'une aphasie qui est due,
A un problème d'hémorragie du cerveau.,
Je réfléchissais sur ce que j'aurais aimé,
Qu'il me dise quelques choses
Pour notre avenir après sa mort,
Depuis sa mort, je vois ce monde,
Qui change, l'Europe qui légifère,
Mon père il était gaulliste.,
Je le connais pas assez pour savoir,
De ce qu'il nous dirait
Sur ce monde actuel,
Puis en y réfléchissant,
Sa vérité est celle ci !
Qu'est-ce que moi Bruno
J'aimerais vous laisser après moi ?,
Je ne sais pas ce que dirait papaJ'ai d'abord pensé à donner des conseils,
De morale à mes frères divorcés,
A causes des dispute de familles
Puis je me suis dit aussi,
Que, ce n'était pas, une bonne idée,
Car je n'ai pas de statut,
De frère prêcheur pour cela
Les curés? Ils se taisentLa morale ça doit être partagée
Et puis j'ai encore réfléchi,
Et je me suis dit ce que j'aimerais,
Entre ce que je suis
Et ce que j'aurais du être
La vie n'est pas une chose écrite$*
J'ignore mon vécus que j'ai rêvé
J'ai encore quelques souvenirs
De bonne amies que j'intéressais
Entre Danielle, Elda et d'autres
Je ne me suis jamais mis en couple
Donc je n'ai pas d'enfant
Que tous mes enfants potentiels,
Ceux là que j'aurais du avoir
Tous ceux là que je n'ai pas eus,
Ils sachent bien que pour l'avenir...,
Primo que je les ai toujours aimés,
Et qu'ils restent fidèles
A une vrai idée des enfants,
Celle qu'il avait adolescent,
Et qu'ils ne se pervertissent pas,
Dans le confort de l'habitude,
Et ces chose courantes de la vie
Des choix que l'on se donne,
Pour partager un foyer,
Etre ensemble pour longtemps,
Et ce sentiment de sécurité
Tout ce que nous donne l'argent,
Celui dont on, dispose,
Et tous ce qu'ils gardent au cœur,
Je sais les idéaux de leurs 20 ans
Ces choses où il voyaient ce monde,
Avant de s'engager dans leurs boulots,
Et qu'ils fondent un foyer commun,
Avec une femme et des enfants
Et tous les soucis d'une famille,
Curieusement je vois assez peu,
Mes petits neveux quasiment tous,
Se sont des gamins plutôt mal connus,
La famille pour eux ça reste un truc intime,J'écris ceci comme une vision fraternelle,
Mais moi, je n'ai pas d'enfants,
Peut-être ! Que c'est mon choix de vie,
Une vie de célibataire très libre
Ce que je dis là, je le pense pour moi,
Pour mes frères et pour mes sœurs,
Pour mes neveux et pour mes nièces.,
Avec des si, j'aurais eu, des milliers d'enfants.Pour vous ! Qu'est-ce qui est le plus important ?
Et que léguerez-vous à vos enfants?,
Je ne parle que de l'héritage moral,
Et je ne parle pas des sous que vous leurs laisserezBruno Quinchez Paris le15 mars 2005,
Texte remis en forme Paris les 30 et 31 juillet 2020 -
Les étoiles ? Elles sont en or 25-7-2020
- Le 25/07/2020
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Les étoiles ? Elles sont en or... Version 25 juillet 2020
Question d'étoiles
Elles sont toutes en or
Mais elles sont inatteignables
Loin de notre connerie de bipèdesCe n'est pas demain qu'on y ira
Question relative au gars Albert Einstein
Le même qui a demandé aux américains
De construire la bombe ALes étoiles, elles se foutent de nous
Elles sont aussi pleines de mystères
Dans le silence infini du ciel
Les étoiles qui rigolentOui ! Elles rigolent bien
De notre planète minable
Il n'y a pas de Terre de remplacement
Et nous resterons sur TerreEncore longtemps
Avec toute notre humanité
Qui est bien trop banale
Espérons la vie sur TerreEt nous n'irons pas pourrir
Le reste de l'univers
Nous les vermisseaux
Nous les enfants de nos rêvesEt ça c'est une parole
De physicien responsable
De celui qui ne construit pas
La machine à rendre possibleToutes les conneries
Dont les hommes ont rêvées
Toutes ces conneries d'autre fois
Entre des horreurs et des guerresOn crèvera, jusqu'à en devenir
Des hommes raisonnables
Entre humains responsables
Sur une Terre trop limitéeBruno Quinchez Paris le 18 février 2005
Quelques rajouts le 25 juillet 2020les-etoiles-sont-en-or.mp3 (1.73 Mo)
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Attendre ? Version du 24 juillet 2020
- Le 24/07/2020
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Attendre ? Version du 24 juillet 2020
Se taire! Ne rien dire! Attendre !
Mais attendre quoi donc ?
La mort ? Des jours meilleurs ?
Le Messie ? Celui qui doit venir
Attendre le printemps !
Ce printemps qui jaillit des cœurs
Tous les bourgeons de nos vies
Mais attendre encore, puis partir ailleursAllez je ne sais où ! Tout là-bas
Dans des cieux inconnus et lointains
Tous pleins de mystères et de vies
Entre des coquillages et des marées
Et toujours chercher parmi les fleurs
Oublier sa solitude et oublier la misère
Encore attendre… Mais quoi ?
Attendre la fin ! Celle de ce monde…
Attendre la fin de soi !
Croire à la cinquième saison !
Celle de nos immortels désirs…
Cette saison bien plus puissante
Que l’attente qui nous vient
Dans un chez soi où je vis
Et des ailleurs qui sont mal compris
Sur un présent trop banal
Mais se voir désespérer de ces jours,
Encore attendre de meilleurs jours
Mais attendre… Mais quoi ?
Attendre le Messie… attendre sa vie…
Ne jamais oubliez ! La vie présente
Pour surseoir à ses rêves sans vies
Sacrifier une vie dans l’attendre
Pouvoir jouir intensément du présent
Ne plus attendre et construire l’avenir
Attendre ? Cela n’est rien !
La belle affaire sans doute…
Nous disait le grand Jacques
Mais vieillir, cela n’a pas de sens
Et le présent; qui reste aussi absent
Donc construire sans attendre
Et que vivent tous nos présents…
Bruno Quinchez Paris le 27 février 2005
Quelques ajouts Paris le 24 juillet 2020attendre-verson-du-26-juillet-2020.mp3 (2.02 Mo)
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sur mon passé de banlieue
- Le 18/07/2020
- Dans Nostalgie
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Sur mon passé de banlieue
Vivre à Paris c'est déjà beaucoup mieux
Que de vivre dans une banlieue lointaine
Vivre sans voiture; c'est galère pour se déplacer
Les bus en banlieue ce n'est pas si évidentcar parfois, ça devenait aléatoires dans les lignes de bus
Je me souviens de tous ces kms que j'ai faits à pieds
parfois sous la pluie et cela sans vraies protections
Question des rendez vous, il fallait prévoir les transportsPuis les magasins ouverts, ça devenait aléatoire
Il y avait un très grands magasin à une demie heure
Là j'ai tout qui est disponible, donc quasiment sous la main
Je revenais avec quinze kg de choses achetées un parcourt de 3kmça va t'y faire plus de 23 ans que je suis à Paris
Il reste vrai que la verdure ça me manque un peu
Mais il me reste des mauvais souvenirs de la banlieue
Paris certes sans verdure mais avec tout sous la mainBruno Quinchez Paris le 18 juillet 2020
sur-mon-passe-de-banlieue.mp3 (1.22 Mo)
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Poète ! Quesaquo ?
- Le 16/06/2020
- Dans Chroniques des temps qui passent
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Poète ! Quesaquo ?
Des fois j'ai l'esprit en moi, qui est si tranquille
Que je me dis : Bruno reste calme, et tu vis ta vie!
Oui je sais hélas, tous mes mauvais tourments personnels
Ceux de mon passé vécu, avec beaucoup trop d'angoisse
Puis je me dis en y songeant : Soit un vrai poète !
De ceux qui chantent les quatre saisons de l'année
Entre l'hiver très froid et la canicule qui nous écrase
J'aime beaucoup les quelques lumières du printemps
Je sais aussi tous ces fruits murs de l'automne
Entre quelques ciels qui varient et qui changent
Avec de bonnes histoires d'amours très désirés
Je sais de ce presque riens qui nous sont donnés
Avant j'étais encore assez jeune pour bouger
Je suis devenu ce grand solitaire qui est bien seul
Un enfant qui me sourit cela me suffit pour vivre
Se moquer des poètes amis avec tous leurs mots
En effet ils sont bien dans leurs mondes personnels
Où ils refondent un monde qui se veut extraordinaire
Tandis qu'ils sont dans une vie qui reste bien trop banale
Il y a des histoires d'amours immortelles dans leurs mots
Ni Rimbaud, ni Verlaine, ni Hugo, ils ne me disent
Toutes les douleurs et désirs de ma vie ordinaire
Comment savoir, comment vous dire une vie banale
Un silence qui me réponds quand je me pose la question
Un miracle peut être avoir des mots qui vous parlent
Entre les hiers de nos passés et ceux de mon propre vécu
Une lumière peut briller dans le ciel, elle me suffit bien
Pour un toujours et des histoire éternelles d'un bon amour
Bruno Quinchez Paris le 16 juin 2020