Nostalgie
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TOUSSAINT 2005
- Le 30/03/2021
- Dans Chroniques des temps qui passent
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TOUSSAINT 2005
Aujourd'hui premier novembre
C'est la Toussaint 2005
Je pense à ma mère
qui se meure doucementEt qui attends sa mort
comme une délivrance proche
Ma mère avec un cancer
en phase extrême de son évolutionMa mère qui m'a allaité
quand j'étais un petit enfant
Je me voue à tous les seins sains
de saintes et femmes enceintesJe pense à Myriam mère de Yéshoua
qui fut mère avant d'être vierge
Je pense à l'abbé Pierre
qui a avoué avoir eu des tourments amoureuxJe pense à ces saintes amoureuses
de Jésus leur Dieu comme Thérèse d'Avila
Je pense à Éros qui décoche ses flèches à tous
Aussi bien les mystiques désincarnésJe me dis que les putains sans illusions
Elles se font violé sans avoir ses désirs
Les vrais amours, ils construisent des histoires
Où il est question de partages
Éros est un ange sans religion,
Éros pense à tous, Éros pense aussi à vous...
Il tire sur les saints et sur les salauds...
Sur tous les hommes et toutes les femmes...Éros ! Il n'a pas de préférence
Choisir entre le ciel ou l'enfer
Moi Je me voue aux seins
Des saintes, parfois enceintes
Je me moque de ces curés
qui n'ont pas de femmes à caresser
Car cela est aussi des mensonges,
Et je sais bien toute ma solitudeCar pour eux, les amours ce ne sont
que des fantasmes idéalisés,
Et ce n'est pas la lourdeur
de la chair avec tout son poids de destinéeÉros est un ange puissant
et il travaille si bien trop facilement
il lance sa flèche au plus intime
même quand vous vous croyez blindéÉros c'est un ange païen...
C'est l'ange du désir, l'ange des tourments
Un désir qui vient et qui s'impose
Entre un homme et une femmeBruno Quinchez Paris le premier novembre 2005 et Paris le 30 mars 2021
Il es à savoir que ma mère elle est morte le 5 novembre 2005 -
Le Printemps...
- Le 27/03/2021
- Dans Le temps qu'il fait.... La météo
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Le Printemps...
Le ciel que je vois
il est encore ensoleillé
Comme des mots tendres,
ceux qui nous sourientJ'aime ces quelques mots
Tous ceux qui restent heureux
La lumière la plus vraie,
elle reste parfois très simpleJe n'imagine pas les fleurs
qui nous viennent bientôt
Je les regarde fleurir
tous ces bourgeons qui poussentLe printemps il est bien là
et j'aime ces moments fleuris
On me dit que c'est froid,
mais je ne sais pas ce que sera demainBruno Quinchez Paris le 27 mars 2021
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Tendres souvenirs
- Le 24/03/2021
- Dans Nostalgie
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Tendres souvenirs...
Tendres sourires
que l'on accorde aux enfants
Dans ces temps du confinement
et de cette épreuveje me disais... Non ! Bruno
il te faut pas pleurer tout seul
je méditais en songeant
à tous ces enfants qui sont très libresEt qui ne craignaient pas vraiment
de ne pas porter de masque
Je me disai s! Oui la tendresse
elle reste une réalité très douceMon coeur trop fatigué,
il ne savait plus vraiment
ce qu'est vraiment l'enfance
La vie qui reste libreLes mots les plus banals
ils sont des mots qui s'absentent
Le ciel ! Il me dit parfois
des lumières qui sont dans le cielje sais des églises qui sont vides
et des désirs qui sont communs
Mais comment prier dans un monde
sans amours qui soient prochesNe pas croire au bordel
mais à toute la tendresse commune
Celle qu l'on partage en se parlant
Quelques fois j'aimerais partagertoutes mes prières personnelles
Je sais seulement qu'on puisse
y mettre un seul gars solitaire
c'est à dire Moi le BrunoMes frères et soeurs ils sont des gens
qui ne prient plus par manque de foi
L'absence pour moi c'est un manque
et j'aimerais prier en groupeOui mais avec qui donc ?
je n'aime pas certains curés
qui sont capable du pire
Comme de prêcher en latinparfois je pense à des curés
qui me seraient plus proches
Dans mon passé j'ai eu des curés
qui étaient très sociauxDe nos jours je sais des prêtres
et un sacré business
Que j'aime pas vraiment
Ils pensent d'abords aux sousBruno Quinchez Paris le 24 mars 2021
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Prophétie de fin de printemps froid
- Le 24/03/2021
- Dans Chroniques des temps qui passent
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Prophétie de fin de printemps froid
Ce soir j'ai des sueurs froides,
Un chaud-froid que je n'aime pas
En général ça précède un bon rhume,
Je tiens à dire les jours sont chaudsAvec un fond de l'air qui est très frais
Et quand j'aurais dis cette banalité ordinaire
Non ! Je vous dis quand vous ne serez pas plus avancé
Pourtant mes frissons, c'est bien réelJe vais me coucher tant pis pour le reste
Le monde peut bien tourner sans moi
Ah ! Mon dieu ! Parlez-moi d'amour...
Histoire que je vous fouteUne bonne paire de claques
Dans la gueule car ça fait du bien
Il est des loosers métaphysiques
Qui attendront sans craintesQue le soleil s'éteigne
Et que les fleurs épanouies
Celles là! Des jolies fleurs de printemps
qui veuillent se laisser mourirEn donnant des graines fertiles
Il est aussi des assassins du ciel
Qui crèveront la panse pleine
Il est des idiots savantsQui écriront des équations sans noms
Il est aussi des pacifistes
Qui se renieront sans révision
Pour avoir cru à leur au destinJe sais des fleurs de cerisier
Bien trop fragile en ce printemps
Quelques temps qui sont trop frais
Et des gelée de ce mois de printempsLes cerisier il seront épanouis
Il est des salopards trop riches
Qui deviendront des saints du ciel
Il est des noirs qui blanchirontLeur nuits au hasard des jours
Il est des blancs qui vendront
de la blanche à des enfants noirs
Et des enfant noirs trop abserntIl est des absurdes
Qui deviendront la norme pour tous
Il est temps de partir!
Levez-vous terroristes boursiersVent mauvais ! Emporte au loin!
Ces mauvais rêves, d'une mauvaise vie
Les mauvaises femmes passeront
Elles s'achèteront de mauvais hommesLe bordel ambiant de nos vécus
Il deviendra un couvent de nonne
Et pépette Laëtitia Casta...
La dame qui est vue toute nueElle sera une sainte parmi toutes
Je désirerais des dames déshabillées
Les hommes de biens de nos vies
Ils auront les salopes pour héritièresLes salopes elles s'accoucheront
Elles aussi de lendemains qui chantent
Et l'on chantera l'internationale,
Avec toud les rythmes du tangoJe ne sais que dire des pays latins
Les militaires qui rompront le pas
Et ils valseront en syncopes
Dans des tangos argentinsLa mort elle n'aura plus de masque,
Et toute nue... Tous les hommes la désireront
mais la mort qui ne voudra pas d'eux,
Car elle les trouvera tous trop lourdsAinsi leurs karmas vécus les écrasera
Et ils seront broyés par leur merde
Les maxillaires de la camarade
Ils seront en grève illimitéeEt la lune insolente poussera
Un long hululement métaphysique
Dans un ciel de printemps frais
Le ciel de févrierpasseCes jours là les hommes
Qui chercheront partout
Leur presque rien d'âme
Et ils ne la trouveront plusDans le marché du foutre
Où ils vivent trop ordinaires
Sans leurs âmes,juste leur sexe
Ils n'existeront plus comme des absencesA jamais, ad-aeternam
Nous serons ainsi quelques-uns
Dans les myriades de choses
De nos vie qui sont écritesJe ne sais pas si je vous lirais
Vous autres, de ci et de là
Ma bibliothèque est pleine
Et je ne sais pas où vous êtesmon temps qui passe
Et toutea les choses
de ma vie trop lasse
ma vie, celle là qui passeLe ciel qui se tait
Il ignore tous vos écrits
Je ne lis plus
Mes recueils de poésie ça m'agaceJe vais sur le net
qui est plein ee choses
qui sont écrites
et pas toutes sympathiquesCela dans un temps nouveau
Celui qui vient et qui va
Je e sais pas demain qui vient
Et vous tous mes lecteursBruno Quinchez Paris le 24 mars 2021
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Bavardages...
- Le 18/03/2021
- Dans Chroniques des temps qui passent
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Bavardages...
L'écrit qui reste, c'est cette chose qui est très lue
Parfois faites de petites réalités de nos vies présentes
Y aurait il un récit incroyable qui puisse décrire ce monde
Il est écrit d’innombrables choses qui sont toutes différentesEt peut être un monde qui dure et une vie que l'on choisie
Dans les bibliothèques je sais des myriades de livres
Qui ne sont pas tous lus, ils sont des trucs de notre mémoire
Sur les sites internet parait que c'est des gens bien vivantsMais parfois je me dis que ce n'est pas des choix intéressants
Nos bibliothèques; elles sont pleines lisez vous tous ces livres
Je sais que je peux dire plein de chose inédites sur le pèsent
Mais parfois je me dis: Bruno ! Tu es un sacré bavardJ'ignore parfois si ce que je dis c'est vraiment un truc inédit
Je ne suis pas assez dingue pour me dire l'unique poète
J'aime lire certains poèmes par leurs formes bien construites
Il n'est écrit nulle part, qu'on soit unique, dans ce monde de dinguesLa lumière du jour, elle me parle doucement avant la tombée de la nuit
Est il écrit que deux plus deux font bien le résultat de quatre
Parfois je compte les vers pour en faire une suite de quatrains
Un enfant, il me dit aussi Bruno qu'est-ce que tu es bavard !Bruno Quinchez Paris le 18 mars 2021
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un peu songeur
- Le 15/03/2021
- Dans Chroniques des temps qui passent
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Un peu songeur
Ce soir neuf heure vingt, une heure un peu passée
Je songeais, aux gens que je fréquente, de ci est de là
Entre des grosses angoisses, et ce vécu trop ordinaire
Je ne savais que dire, Oui ! il y a ce coronavirus...Une maladie mal comprises et qui est assez angoissante
Personnellement je suis un peu inquiet la dessus
J'entends dire plein de trucs différents sur cette maladie
Je ne m'en soucie pas et je ne me ferais pas vaccinerJ'ignore si c'est très sensé, je sais trop de sales histoires
Je vois et je lis des gens sur internet et ils sont inquiets
Dans ma famille je sais un frère, une belle-sœur et un neveux
Qui ont eus cette maladie et ils en sont maintenant guérisJe sais aussi un vieille copine qui a été très mal et son mari qui est mort
Je me dis parfois que l'âge est important, les vieux sont plus fragiles
je suis moi même un vieux de soixante-neuf ans avec tous ses petit problème
Mais ça ne m'impressionne pas, je me dis parfois que je verrais bien !Je sais un copain aveugle qui a attrapé cet truc et il s'en est sorti
Un vieux, c'est quoi ? j'aime mes vieux amis; quoique ils me disent
Je me sais fragile, j'ai quelques problèmes de colonne vertébrale
Mais pour cette saloperie, là vous savez, je reste trop solitaire chez moiJe pense souvent à tous les trucs qui nous sont dits sur les radios
je me dis aussi que les médecins, ils disent des trucs contradictoires
Je ne sais pas que vous dire cette maladie est trop complexe
J'ignore les différences entre tous les vaccins dont on nous parleBruno Quinchez Paris le 15 mars 2021
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Des Papillons
- Le 12/02/2021
- Dans Nostalgie
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Des Papillons
Je voyais voler un papillon qui était tout blanc
Un papillon, Sans vraies nuances dans ses tons blancs
Il volait tranquille et il voyait voler un papillons très coloré
Et lui le papillon blanc il ne savait pas vraiment que lui direIl engagea alors la conversation avec l'autre
Dis donc papillon sais-tu qui le blanc, il est beau
Blanc comme la neige dans un jardin pendant l'hiver
Je ne sais pas lui répondit l'autre paillon coloréTu sais que pour nous les papillons, l'hiver est rude
J'aime toutes les fleurs qui viennent au printemps
Le papillon blanc qui savait vivre pour le froid et le chaud
Lui dit aussi certes je ne suis pas la neige mais je l'aimeLe papillon coloré lui dit que le printemps est très vivant
Et que toutes les vies s'épanouissent avec le printemps
Le papillon banc lui dit, je ne connais pas de fleurs blanches
Mais je sais cette blancheur que j'ai en moi sur mes ailesLe papillon coloré qui lui posa alors cette question
Et tu sûr de vivre ta vie avec des amis qui t'aiment ?
Je ne sais pas dit Le papillon blanc, je suis un gars de l'hiver
Et j'ai peu d'amis qui viennent me voir pendant ce tempsParfois je sais des papillons, qui se croient exceptionnels
Mais je sais aussi que nos vies, elles sont des réalités diverses
Un papillon blanc, il est certes moins fragile avec le froid d'hiver
Jamais, je ne saurais tous les enfants de ces deux papillonsBruno Quinchez Paris le 12 février 2021
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Silence
- Le 12/01/2021
- Dans Chroniques des temps qui passent
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Silence
Un silence en moi
Ne plus rien vous dire
Un désir de paixBruno Quinchez Paris le 12 janvier 2021
Nota Bene ma mère aurait 96 ans ce jour
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Douze jours avant Noël
- Le 12/12/2020
- Dans Chroniques des temps qui passent
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Douze jours avant Noël, une pensée pour Jésus
Je songe à un Jésus, celui là quand il était petit enfant
Connaissait-il son destin celui de devenir un prophète
Certains disent qu'il avait en lui déjà toute la sagesse
Je ne sais que dire d'un destin avec tout qu'il ya à parcourirEn vieillissant je sais mon destin et ce que moi, je suis devenu
Je ne saurais jamais pas celui que j'aurais pu être dans une autre vie
Je songe souvent au passé antérieur et ce que j'étais encore jeune
Et je songe aussi au destin divers de plusieurs hommes célèbresEntre un scientifique, un artiste, un philosophe ou un prophète
Savoir le poids des ses œuvres et tous les drames affreux causés
Moi ! J'ai fait le choix du camp des artistes qui est le meilleur de tous
Ou plutôt, c'est le plus innocent par ces conséquences sur ce mondeJ'imagine un monde sans Jésus et j'y vois que l'argent est alors le vrai dieu
Pauvre petit Jésus face à tous ces radins éternels et sans partages
Si le communisme athée, il a si bien pris dans notre monde chrétien
Il faut aussi y voir des réalités financières, de cette église qui oublie JésusPetit Jésus je t'aime ! Et je songe souvent à tous ces miséreux sans argent
Dans une crèche il manque des choses plutôt simples, mais qui sont cruelles
Comme une croix, bien solide, un instrument de la torture des esclaves romains
Les premiers chrétiens ils avaient très peur de cette croix tellement monstrueuseJésus vient donc ! Et n'oublie pas que toi ! Tu es très aimé dans ce monde absurde
Bientôt Noël en cette année 2017 avec toutes ses folies et ses guerres sans fin
Un enfant c'est une promesse pour demain, mais demain je ne sais pas ce qu'il sera
Il faudrait un peu plus d'enfants sages, que de prophètes fous, avec leurs malédictionsBruno Quinchez Paris le 19 décembre 2017
remis sur le site Paris le 12 décembre 2020 -
Noël 2020
- Le 10/12/2020
- Dans Chroniques des temps qui passent
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Noël 2020
C'est bientôt Noël qui nous vient
Mais avec le confinement aussi
J'entends dire des exclusions pour ce Noël...
Personnellement ! Moi je sais bien que je serai seul
Et parait-il pas mal de monde aussi !
Les curés, ils n'ont personne dans leurs églises
Le confinement, c'est bien un truc de dinguesBruno Quinchez Paris le 10 décembre 2020
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Demain ? Cet inconnu !
- Le 01/12/2020
- Dans Chroniques des temps qui passent
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Demain ? Cet inconnu !
Le futur et ses technologies, ils nous échappent
Un ange c'est parfois un être banal mais qui est très tendre
Mais ce qui adviendra dans le futur je ne le sais pas !
OUI ce futur qui vient, il peut encore nous surprendrecela n'en déplaise aux dingues de la Bible
Les prophéties de la Bible, elles sont parfois assez horribles
quand elles nous parlent de fin du monde avec des catastrophes
Je sais Notre époque et toutes ses histoires de Covid-19Je me dis que nous vivons dans un monde sans la Bible
Nous vivons dans un autre monde que celui des prophéties
Il s'agissait de divers malheurs venant des prophéties du ciel
ou seul les gens d’Israël, ils s'en sortent plutôt bienJe me méfie de tous les prophètes qui passent dans l'actualité
Parfois je me dis quec 'est des gens qui font de la politique
Il est à savoir que demain qui vient, il n'est pas écrit
La seule vérité que je sache sur nous tous les terriensC'est que nous vivons sur une petite planète limitée
Je ne sais pas si nous irons dans toutes les étoiles
J'ignore ce que pense un extraterrestre tout là haut
Je sais seulement des myriades d'êtres vivants ici sur terreNos contemporains, Ils connaissent des technologies plus évoluées
Mais ils savent aussi que les politiques sont capables du pire
Il faut que la morale nous soit commune, avec des choix secrets
Il n'est écrit nulle part qu'il y ait une seule vérité qui s'impose à tous -
Le 22 septembre
- Le 21/09/2020
- Dans Nostalgie
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Le 22 septembre
Demain 22 septembre, c'est l'automne qui nous vient
C'est aussi l'anniversaire de mon père
il est mort en mai 2001, et là ça serait ses 98 ans
Personnellement, moi je me sens un peu seulBruno Quinchez Paris le 21 septembre 2020
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Testament
- Le 30/07/2020
- Dans Chroniques des temps qui passent
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Testament
Ce matin en me levant,
J'ai rêvé de mon père,
Qui est mort depuis le 15 mai 2001,
D'un problème au cœur
Et qui ne nous a rien laissé,
Comme testament moral écrit ou oral,
Car il ne pouvait plus rien dire,
Et écrire, cela depuis 12 ans,A cause d'une aphasie qui est due,
A un problème d'hémorragie du cerveau.,
Je réfléchissais sur ce que j'aurais aimé,
Qu'il me dise quelques choses
Pour notre avenir après sa mort,
Depuis sa mort, je vois ce monde,
Qui change, l'Europe qui légifère,
Mon père il était gaulliste.,
Je le connais pas assez pour savoir,
De ce qu'il nous dirait
Sur ce monde actuel,
Puis en y réfléchissant,
Sa vérité est celle ci !
Qu'est-ce que moi Bruno
J'aimerais vous laisser après moi ?,
Je ne sais pas ce que dirait papaJ'ai d'abord pensé à donner des conseils,
De morale à mes frères divorcés,
A causes des dispute de familles
Puis je me suis dit aussi,
Que, ce n'était pas, une bonne idée,
Car je n'ai pas de statut,
De frère prêcheur pour cela
Les curés? Ils se taisentLa morale ça doit être partagée
Et puis j'ai encore réfléchi,
Et je me suis dit ce que j'aimerais,
Entre ce que je suis
Et ce que j'aurais du être
La vie n'est pas une chose écrite$*
J'ignore mon vécus que j'ai rêvé
J'ai encore quelques souvenirs
De bonne amies que j'intéressais
Entre Danielle, Elda et d'autres
Je ne me suis jamais mis en couple
Donc je n'ai pas d'enfant
Que tous mes enfants potentiels,
Ceux là que j'aurais du avoir
Tous ceux là que je n'ai pas eus,
Ils sachent bien que pour l'avenir...,
Primo que je les ai toujours aimés,
Et qu'ils restent fidèles
A une vrai idée des enfants,
Celle qu'il avait adolescent,
Et qu'ils ne se pervertissent pas,
Dans le confort de l'habitude,
Et ces chose courantes de la vie
Des choix que l'on se donne,
Pour partager un foyer,
Etre ensemble pour longtemps,
Et ce sentiment de sécurité
Tout ce que nous donne l'argent,
Celui dont on, dispose,
Et tous ce qu'ils gardent au cœur,
Je sais les idéaux de leurs 20 ans
Ces choses où il voyaient ce monde,
Avant de s'engager dans leurs boulots,
Et qu'ils fondent un foyer commun,
Avec une femme et des enfants
Et tous les soucis d'une famille,
Curieusement je vois assez peu,
Mes petits neveux quasiment tous,
Se sont des gamins plutôt mal connus,
La famille pour eux ça reste un truc intime,J'écris ceci comme une vision fraternelle,
Mais moi, je n'ai pas d'enfants,
Peut-être ! Que c'est mon choix de vie,
Une vie de célibataire très libre
Ce que je dis là, je le pense pour moi,
Pour mes frères et pour mes sœurs,
Pour mes neveux et pour mes nièces.,
Avec des si, j'aurais eu, des milliers d'enfants.Pour vous ! Qu'est-ce qui est le plus important ?
Et que léguerez-vous à vos enfants?,
Je ne parle que de l'héritage moral,
Et je ne parle pas des sous que vous leurs laisserezBruno Quinchez Paris le15 mars 2005,
Texte remis en forme Paris les 30 et 31 juillet 2020 -
Les étoiles ? Elles sont en or 25-7-2020
- Le 25/07/2020
- Dans Chroniques des temps qui passent
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Les étoiles ? Elles sont en or... Version 25 juillet 2020
Question d'étoiles
Elles sont toutes en or
Mais elles sont inatteignables
Loin de notre connerie de bipèdesCe n'est pas demain qu'on y ira
Question relative au gars Albert Einstein
Le même qui a demandé aux américains
De construire la bombe ALes étoiles, elles se foutent de nous
Elles sont aussi pleines de mystères
Dans le silence infini du ciel
Les étoiles qui rigolentOui ! Elles rigolent bien
De notre planète minable
Il n'y a pas de Terre de remplacement
Et nous resterons sur TerreEncore longtemps
Avec toute notre humanité
Qui est bien trop banale
Espérons la vie sur TerreEt nous n'irons pas pourrir
Le reste de l'univers
Nous les vermisseaux
Nous les enfants de nos rêvesEt ça c'est une parole
De physicien responsable
De celui qui ne construit pas
La machine à rendre possibleToutes les conneries
Dont les hommes ont rêvées
Toutes ces conneries d'autre fois
Entre des horreurs et des guerresOn crèvera, jusqu'à en devenir
Des hommes raisonnables
Entre humains responsables
Sur une Terre trop limitéeBruno Quinchez Paris le 18 février 2005
Quelques rajouts le 25 juillet 2020les-etoiles-sont-en-or.mp3 (1.73 Mo)