Femmes! Je vous aime
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Eloge d'une paire de seins
- Le 04/01/2021
- Dans Pin-up et jolie fille
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Éloge d’une paire de seins
Les prendre dans la main, les voir, les soupeser,
Comme des gros melons murs, les sentir, les peser,
Ces deux choses que vous posséder ma princesse,
Quoique je ne sache rien, de vous et de vos fesses.Très chères belles dames vous nous faites rêver
Quoi qu’on ne sache bien, tout cela que vous avez
Mais parfois des fantasmes passent mieux sur l'écran
Et je vous dis, tout cela, ce bien n’est que du nananMadame, j’aime encore et toujours, vous voir et draguer
Mais je me dis moi aussi, de ce petit-rien vous me baguer
Même si j'aime toujours et autant, certes ma grande libertéDe beaux nénés pour une bonne année... O ma princesse!
Même s'il faut que votre douce échine galbée que je caresse
Avec verge dure et ferme pour mieux, vos fesses vous fouettezBruno Quinchez Paris le 3 janvier retravaillé le 9 janvier 2005
Poème mis sur le site le 4 janvier 2021Là ! Je rajoute une photo d'une statue d'Yves Pïres
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Laetitia Casta 42 ans
- Le 08/07/2020
- Dans Pin-up et jolie fille
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Laetitia Casta 42 ans...
Laetita Casta une femme qui est maintenant âgée de 42 ans
Qui pose pour se montrer et cela même si elle est habillée
Une dame qui est certes mûre, mais qui est encore toute parfaite
Une vedette qui le restera toujours, sans doute parmi toutes les femmesC'est sûrement une dame, qui est encore tellement désirable
Un fantasme de femme, de celles qui ont osées se mettre nue
Je ne sais pas plus érotiques, que toutes ses photos, quelques elles soient
Entre celles qu'elle a faite pour la mode ou bien des nues érotiqueÊtre habillée pour cette dame, c'était de porter une robe de marque
Alors qu'elle savait que son corps,il se dénudait ou il se vêtait de presque riens
Je me disais en regardant tous ces clichées, dans la vie comment est elle ?
Puis je lisais aussi des histoires de cul ,ou des amours avec des mecsOui je me dis quelle soit toute nue ou quelle soit habillée
Je sais depuis un bout de temps des photos de cette dame
Ce sont toujours des belles choses féminines et parfois assez érotiques
La beauté n'a pas de prix, un chose qui est plus élaborés que le pur désirLà je la sais tranquille, sont âme qui est en paix et aussi sans peur
Maintenant ne pas exiger qu'elle se dénude et voir encore toute sa beauté
Je me dis qu'avec l'âge qui nous muri nous nous transformons peu à peu
Et je me dis et que les femmes qui viellisent elles restent attirantes et sexuéesCette dame de 42 ans elle me plait bien, elle possède encore tous ses attraits
Le sexe! Non n'est pas la ménopause, mais je ne sais pas trop pour le désir
Le temps qui passe ce n'est pas fait que pour tous les mecs qui vieillissent
Cette jolie dame, elle nous accompagne dans l'éternité qui vientBruno Quinchez Paris le 8 juillet 2020
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A une jolie noire
- Le 03/07/2020
- Dans Chroniques des temps qui passent
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A une jolie noire
Elle est noire et elle me sourit amcalement
Moi je la désire vraiment et je bande aussi
Mais quoi vous dire de plus simple encore
Si ce n'est que nous sommes tous les deuxDe ces mondes qui sont très différents
J'aime bien tout l'effet qu'elle me fait
Je ne suis pas sûr du tout, ça je le sais
Qu'on puisse s'envoyer en l'air tous les deuxPas envie de voir, tous les grands frères
Les tontons et toute la famille au complet
Pourtant c'est vrai, pour elle je bande
Mais, vous savez, je ne sais pas quoi faireJ'aime son regard toujours amical
Celui d'une vraie femme pour un homme
Regard sans concession et avec le désir
Pour cette dame noire ce poèmeOui ça chamboule toutes mes visions
Des ces femmes amoureuses
Là c'est du désir pou tout de suite
J'aime cette femme pleine de désirToute l’innocence d’une jolie nana
Sans problème et sans complexes
J’aime en elle le désir et le sourire
Peut être est ce qu’un bon rêveElle est noire, je suis un petit blanc
Je ne sais comment lui dire alors
Que j’aime son désir et son sourire
Mais ! Mais ! Mais ! Moi Je ne sais pasSi je dois casser ma vie pour ce désir
Je me sais fragile et comment lui dire
Que je n’attends rien des lendemains
Mais il y a ce désir insolent et perturbateurBruno Quinchez Paris le 26 juin 2014 Texte remis sur le site 3 juillet 2020
C'est curieux ce texte que j'avais déjà mis en lecture l avait disparu -
Des Histoires d'Amour...
- Le 29/06/2020
- Dans Chroniques des temps qui passent
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Des Histoires d'amour...
Quelques fois j'aimerais écrire quelques petits riens
Comme des mots très tendre et qui sont affectueux
Pour une dame que j'aime et qui me dirait des mots
Bruno tu sais je t'aime beaucoup, d'un amour très fortDans les fait, dans ma vie, je connais bien quelques nanas
Qui ne s'aventureraient pas avec cet égo trop bavard et égotique
Celui d'un poète qui parle fort et qui est ainsi beaucoup trop loquace
Je sais aussi cette absence, oui toute ces dames elles me manquentBous savez pour toutes les histoire d'amour, c'est un temps qui est partagé
Il est rare de nos jours d'avoir des mots très tendres pour des inconnues
Car hélas je sais trop le manque de confiance et aussi la peur de cet inconnu
Un poète trop parlant qui est capable de tout dire, parfois n'importe quoiJe songe souvent à ces belle histoires d'amours, celles là dans mon passé
Je sais aussi toutes mes mauvaises histoires avec mes sous qui manquent
Ma liberté ? Tu parles ! Hélés je n'ai pas pu faire tout ce que je voulais
Il y avait aussi trop de dépendances dans mes relations familialesUne dame que j'aimais m'a laissée elle s'est mariée avec un autre gars
Une autre dame qui est venue me voir, mais elle avait peur de moi le dingue
Je ne sais pas si j'aurais pu être un bon père ? N'est-ce pas madame Odette
Hélas je sais parfois un manque, celui là qui m'est dit comme une vraie libertéJe sais dans ma familles des histoires compliquées et trop de séparations
Alors pour moi je ne pourrais vous dire tous ces ennuis de la vie de couple
Des fois je songe souvent à l'amour de ma vie, mais je ne sais pas
Entre des histoires de cœur, et de sordides histoires de sous qui manquentBruno Quinchez Paris le 29 juin 2020
des-histoires-d-amours-1.mp3 (2.39 Mo)
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La sayette 29-06-2020
- Le 29/06/2020
- Dans Femmes! Je vous aime
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La sayette...29-06-2020
Là je souris ! Car en relisant
Dans mes archives personelles,
Des lettres que j'ai tapées sur mon ordinateur
Que j'ai imprimées, et que j'ai envoyées en courriers.Là je vois une histoire d'amour
Qui serait datée de septembre 1997,
Une correspondance avec une dame
Qui se faisait appeler La Sayette,Une femme mariée avec 2 enfants,
Bref c'est une femme mariée
Qui me raconte des histoires d'amours,
En fait, se sont des fantasmesEt puis en y réfléchissant
Ce n'est pas ma personne qui l'intéressait,
Mais mes textes écrits, ils sont parait-il
Des beaux textes sur l'amour en poésiePuis j'ai eu une longue conversation
Avec le mari au téléphone...
Et puis devant toute cette histoire
De leur vécu commun avec elle,J'en ai conclu que cette véritable histoire amour
Entre tous les deux, elle est véritable,
Et sans doute avec ces deux enfants
Qu'elle est sûrement assez ancienne,Alors là je me suis écrasé,
Mais c'est marrant de revoir
Une histoire d'amour de mon passé,
Pour moi les histoires de culVous savez de nos jours,
ben c'est très, très calme
Puis se mettre à bander
Voilà un désir purement masculinC'est assez calme à cause de ma prostate
Qui a été irradiée à cause d'un cancer.
Quesaquo que le désir?
Parfois je sais des presque riensEt je me dis ce n'est pas sérieux
L'amour, c'est pour une amie
De celles-là que l'on croise
Dans les presque riens de la vieMais sûrement pas une aventure
Vous savez ! Le cœur amoureux;
Ce n'est pas toujours le sexe
Même si l'on confond les deuxBruno Quinchez Paris le 27 juin et 29 juin 2020
la-sayette-un-texte-que-j-ai-lu.mp3 (2.39 Mo)
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Les Feux de la saint Jean 22 juin 2020
- Le 22/06/2020
- Dans Fêtes
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Les feux de la saint Jean
Madame ma Lune, je vous attends aux brasiers de fêtes
Je vous allumerai d'un feux amoureux, celui qui vous brule
J'irais décoiffer vos cheveux pour savoir, comment vous êtes
Madame aux yeux noirs, cœur de panthère aux caniculesMon cœur sera à vous et vous le dévorerez tout saignant
J'irai en flamme, vous couvrir d'un brasier de baisers
Une envie de vous faire mille enfants et encore des enfants
En Neuf mots: je peux vous aimer et je veux vous baiserAux feux de la saint jean nous ferons milles et une bêtises
Je commencerai par vous caresser, puis plus mignardises
Je m'enfouirai au plus profond de vous, de l'amour et du plaisirDame Danielle, vous venez très tôt et très tard dans ma vie
Je vous ai vue plusieurs fois, vous êtes bien dans mes soucis
Mais vous savez aussi que toujours il ne reste que le désirBruno Quinchez Paris le 24 juin 2017
un texte de 2008 mis sur le site le 22 juin 2020Suite...
Roi de cœur, celui-là toujours vainqueur en amour
Dame de pique qui est très cruelle et toujours sans détour
Valet de carreau qui consigne sur papier vos petits mots
Dix de trèfles, entre un rien du tout et un grand showNeuf de cœur, qui lui il est de famille plus modeste
Huit de pique qui est toujours d'humeur la plus funeste
Sept de carreau, le nain jaune de toutes les belles dames
Six de trèfles entre ce qu'on aime et où l'on se damneCinq de cœur pour ce coq gaulois qui chante au petit matin
Quatre de trèfles comme ce porte bonheur de son propre destin
Trois de carreau, pour une fin de partie, celle-ci qui est engagée
Deux de pique le petit peu du rien du tout qui est engrangéAs de pique la carte la plus forte
Celle de la femme qui est morteBruno Quinchez Paris le 24 juin 2017
Un rajout sur le même sujet Paris le 22 juin 2020 -
Sur L'Amour...
- Le 17/06/2020
- Dans Chroniques des temps qui passent
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Sur l'Amour...
L'Amour, c'est cette chose incroyable
Qui permet de croire la vie désirable
Et qui fait de nous des gens assez fragile
Depuis notre naissance, jusqu'à la vie hostileQuelques mots qui suffisent à dire
Toutes ces choses que l'on aime lire
Dire son amour et lui rester fidèle
C'est comme ça ! Madame AdèleJ'ignore pourquoi, c'est celle-là
Plutôt que vouloir choisir celle-ci
Il y a des riens qui disent merci
Tandis que je sais un au de-làLe soleil brille pour tout le monde
Parfois il suffit d'une petite seconde
Pour connaitre l'amour de sa vie
Cela bien au de-là de cette envieBruno Quinchez Paris le 5 août 2017
Un texte de mes archives
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Un résultat du confinement
- Le 21/05/2020
- Dans Chroniques des temps qui passent
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Un résultat du confinement
En ce moment en regardant au tour de moi
je me dis en moi-même quelques choses banales
Que j'aimerais bien avoir des choses très tendres
Comme un bon sourire, celui de la vie qui continue
Marre de ces angoisses que l'on a ces jours ci
Demain il reste à voir ! Enfin peut-être pas vraiment !
Vous savez ! Sans être vicelard, je songe à de jolies dames
Qui me manque cruellement dans ce monde de dingues
Je sais quelque petites choses, de ma vie ordinaire
Qui me font oublier, cette époque beaucoup trop bête
Je pense quelques caresses tendres, sur leurs beaux seins
Et j'imagine encore, de ces vies ordinaires, très amoureuses
Oublions les histoires trop mortelles de cette époque
Peut on vraiment s'aimer, avec un masque sur le visage ?
Je ne sais pas ! C'est bien des histoires de grande sécurité
Parfois je me dis que je vis dans un monde de vrais dingues
Le pire c'est sûrement que moi je ne me protège pas
Le Bruno ! Il se sait mortel... Mais il ne s'en fout pas!
Je n'aime pas cette peur, qui s'impose et qui est trop forte,
Dans un certain temps, que sais qu'il y aura aussi des disparitions
Peut être pour moi aussi ! Oui madame ! j'aime vos beaux seins
Une femme de l'ordinaire, c'est une dame, qui se protège du coronavirus
Peut on vivre dans un monde qui soit aussi sans désirs sexuels
Je ne sais pas madame, je n'ai plus rien pour vous en ce momentBruno Quinchez Paris le 21 mai 2020
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Amours...?
- Le 04/04/2020
- Dans Femmes! Je vous aime
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Amours ?
Rho ! Tu sais ! Là pour la tendresse
Cela se partage à plusieurs
même si parfois dans mon petit lit
Je me sens un peu trop seulCe matin vers huit heure
j'entends frapper à ma porte
Qui était ce donc madame?
Et vous cette inconnue qui frappeJe l'entends qui me parle
A ma porte qui est fermée
Sans que je la vois vraiment
Est-ce Toi ? Dame DanièleUn amour décédé en 1985
Dont j'aime les chansons écrites
Celles qui parlent à mon âme
Celle d'un poète aimableNe pas croire à La mort ?
certes! Mais ne pas croire à tout
Cette fragile dame du passé
Elle ne ressuscite pas toute seuleJ'ai beau savoir les possibles
Je sais aussi un monde infini
Je ne peux être un dieu sans limite
Parmi toutes ces foliesOui je la vois parfois
Parmi toutes celles-là
Dont je rêve encore
De ces amours éternelsOUI ! J'entends souvent
Dans mes matins, ces fantômes
Mais Je ne sais pas trop qui est-ce ?
Tout est possible, parmi toutesJ'espère encore ! Je ne sais pas...
J'évoque en moi-même
Quelques souvenirs aimés
Aurais-je la foi qui me sauve ?Bruno Quinchez Paris le 4 avril 2020
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La Femme... Avec une Majuscule
- Le 08/03/2020
- Dans Femmes! Je vous aime
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La Femme... Avec une Majuscule
C'est y quoi donc que ces mots, La Femme ?
Oui ! Je sais bien que c'est tout ce qui n'est pas mec
C'est l'autre, au sens du mot lacanien le plus exact
Vous savez cet indispensable autre, celui qui reste éternelJe vis aves des femmes, et des petits rien tellement désirables
Un regard francs, une odeur inoubliée et le goût des baisers
Cette incroyable Femme, c'est bien elle que l'on adule ce huit mars
Parce que dans notre passé, il y a un homme qui a décidé cette fêteAinsi la Femme, elle serait exempt de corvées, une seule fois par an
Fêtée à la Saint jean de Dieu... Bordel à queue ! Femmes je vous aime
Je sais tous ces presque-riens, dans toutes celles-là qui font ma vie
Avec beaucoup de tendresse, pas mal d'angoisses et bien des absencesLa Femme ? C'est un concept militant, et hélas cela ne va guère plus loin
Parmi celles que j'aime, il y en a beaucoup qui s'amusent du féminisme
Leurs vies; elle ne sont pas celles des icônes modernes de nos médias
Je sais des tendresses, je sais aussi des femme libres qui restent solitairesBuno Quinchez Paris le 8 mars 2017 et le 8 mars 2020
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Les seins...(La suite)
- Le 02/03/2020
- Dans Femmes! Je vous aime
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Les seins... (La suite)
J'étais là ! Silencieux et un peu songeur
En regardant la dame sur cette photo
Peut être étais-je silencieux et sans mots?
Pour vanter en silence, ses petites valeurs
Vous savez ! L'enfant que j'étais autrefois
Il aimait bien, tous ces seins épanouis
Entre ma mère, avec un regard narquois
Et toutes celles, dont on attendait un oui
Ce sont des petites choses de nos vies
Elles sont toutes à aimer amoureusement
Je sais des dames que j'aimais tendrement
Je sais aussi des absences sans vrais oublis
Une dame d'autrefois avec ces petits riens
Ceux là ! Ils m'allaient; je le dis vraiment très bien
La paire de seins, ceux -à qu'avaient celles-ci
Oui ! Mais alors ! Comment oublier cette amie ?
Bruno Quinchez Paris le 2 mars 2020 -
Maitresse au corps beau
- Le 26/02/2020
- Dans Femmes! Je vous aime
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Maîtresse au corps beau, et la cigale
Maîtresse au corps beau étalait ses appas sur un banc
Passa une cigale prête à jouer l'amour avec son tir à blanc
Mais maîtresse au corps beau lui dit : passe ton bac d’abord !Cigale alla donc chez Barclay, mais ce salaud était déjà mort
La cigale se dit : peut-être que demain je serais avec corps beau
Mais corps beau n'était pas joueuse, elle attirait aussi un corbeauCe noir corbeau avait l'avantage d'avoir, un très gros fromage
Maîtresse au corps beau lui dit : mon plumage vaut votre ramage
Ce en quoi maîtresse au corps beau elle n'avait pas très bon goûtElle passa l'été avec le corbeau pour lui bouffer son fromage
Mais la cigale vécue heureuse, avec une autre cigale de son âge
Ce qui prouve que les meilleures choses elles ne sont pas loin de nousMoralité mélanger les fables de la fontaine, c'est déjà très rigolo
Et à vos yeux je passe déjà pour un gros fiéffé ou grand Charlot
Mais pour faire rigoler maîtresse au corps beau, soyez corbeauMais si vous voulez une amie sympa, soyez une cigale écolo
Monsieur de la fontaine m'en voudrez-vous pour ma morale ?
Mais vos morales idiotes il y'en a plein la vie mais pas toutes égalesMaîtresse au corps beau a eu ce qu'elle voulait rien que du confort
Et la cigale a aimé un ami qu'elle aime et lui ressemblant, sans efforts
Nada effacé, mais la cigale en a profité pour se payer du bon tempsSans le corps beau, et le corps beau, il est parti avec un autre corbeau
Le temps profite aux cigales, et alors mesdames que vive le vent
Le Si et le Fa, pour une cigale, un fromage pour un grand oiseau...Bruno Quinchez Paris le 27 mai 2005, dernier vers le 26 février 2020
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Eloge d'une paire de seins
- Le 26/02/2020
- Dans Femmes! Je vous aime
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Éloges d’une paire de seins
Les prendre dans la main, les voir, les soupeser,
Comme des gros melons murs, les sentir, les peser,
Ces deux choses que vous posséder ma princesse,
Quoique je ne sache rien, de vous et de vos fesses.Très chères belles dames vous nous faites rêver
Quoi qu’on ne sache bien, tout cela que vous avez
Mais parfois des fantasmes passent mieux sur l'écran
Et je vous dis, tout cela, ce bien n’est que du nananMadame, j’aime encore et toujours, vous voir et draguer
Mais je me dis moi aussi, de ce petit-rien vous me baguer
Même si j'aime toujours et autant, certes ma grande libertéDe beaux nénés pour une bonne année... O ma princesse!
Même s'il faut que votre douce échine galbée que je caresse
Avec verge dure et ferme pour mieux, vos fesses vous fouettezBruno Quinchez Paris le 3 janvier retravaillé le 9 janvier 2005
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A une jolie noire... suite
- Le 02/12/2019
- Dans Femmes! Je vous aime
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A une jolie noire... suite
C'est curieux ce poème "à une jolie noire", il n'est pas référencé sur Google, ça les dérange peut-être ! Personnellement, je n'ai jamais eu ce concept de races, avec des comparaisons qui sont toutes héritées d'un passé pas toujours sympathique...Cela n'en déplaise à tous ces racistes d'internet
Bruno Quinchez Paris le 2 décembre 2019
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La nuit et les amants
- Le 27/09/2019
- Dans Poésies diverses et variées
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La nuit, et les amants
Ecoutez le ronronnement doux du chat
Qui rêve, heureux, dans le noir,
Ecoutez, le lent tic-tac de la pendule,
L’horloge qui nous poursuitEcoute, mon cœur qui bat,
Ecoute, écoute, écoute, mes aveux,
Dans le noir nos mains se joignent,
Et nous nous effleurons doucementAvec la fraîcheur blanche des draps,
Avec la sérénité patiente de l’instant,
Avec la pudeur voilée de l’obscurité,
Avec joie, avec violence, avec passion,Nous nous aimons,
Dans ce lit, dans le noir,
Et je vois, je te vois,
Je te touche, je te sens,Cette nuit qui passe,
Tu es encore, ma plus belle,
Notre passion si simple,
Nos corps si humbles,Dans ce noir sans lumière,
Sont des statues de chairs,
Que seule, l’obscurité protège
Des rides cruellesDes esthétiques normatives,
Ces affreuses certitudes de la lumière,
O cruelle lumière des jours,
O obscure intimité de la chair
O terre si dure,
Et Parfois tellement fertile
Tu prendras sans problème
Nos corps trop fatigués,Ainsi nous verrons que longtemps après,
Après une dernière nuit,
Après la mille et une
Auprès de ma ronde lune,Moi, le complice de ses rayons blancs,
Moi, le rêve antique du dieu Osiris,
Lune décroissante et lune croissante,
Pour la déesse aux profondes cavernes,Pour ma maîtresse
au corps si parfait,
O lune, favorisez
cette intime, étreinte,Etreintes partagées,
Dans un lit, défait,
à l’heure, du rossignol,
Des matins qui s’imposentBruno Quinchez (Paris le 30 décembre 1987 dans un central téléphonique que je gardais)
Remis en forme le 27 septembre 2019