Humour
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Sur l'Art de la rime et du tricot...
- Le 14/01/2021
- Dans Humour
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Sur l'Art de la rime et du tricot...
Une maille à l'envers
Pour faire un beau vers
Une autre maille à l'endroit
Mais y ai je bien le droit ?Je n'ai jamais tricoté de pull
Mais vais-je donc trouver la rime
La rime à quoi? La Rime wonderfull
Ca y est! C'est déjà ça, le crime
Une maille à la gare d'Anvers
Faire un pull en gare de Lyon
Je n'essaie pas suis trop pervers
D'essayer de damer le pionUne maille a L'an vert
Une maille à l'an trois
Rime rimaille des fois
C'est par hasards diversC'est trop facile de rimer
Je devrais m'essayer
De faire aussi du tricot
Car je suis un peu barjoBruno Quinchez Paris le 9 mai 2005
Mis sur le site le 14 janvier 2021 -
Je vous salis ma rue.. Poème de Jacque prévert
- Le 02/01/2021
- Dans Chroniques des temps qui passent
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Je vous salis, ma rue
Je vous salis ma rue
et je m'en excuse
un homme-sandwich m'a donné un prospectus
de l'Armée du Salut
je l'ai jeté
et il est là tout froissé
dans votre ruisseau
et l'eau tarde à coulerPardonnez-moi cette offense
les éboueurs vont passer
avec leur valet mécanique
et tout sera effacéAlors je dirai
je vous salue ma rue pleine d'ogresses
charmantes comme dans les contes chinois
et qui vous plantent au cœur
l'épée de cristal du plaisir
dans la plaie heureuse du désirJe vous salue ma rue pleine de grâce
l'éboueur est avec nous.Jacques Prévert, Fatras, 1966
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Un Bébé souriant
- Le 25/12/2020
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Un bébé souriant
Un jeune bébé avec un bon regard tranquille
Il me plait bien ce gamin qui nous panait amical
celui qui est là sur la photo et il est très libre
Sans doute un enfant qui est sans angoisse et qui songe
Il a un regard qui est très amical et qui reste libre
Sûrement quelques questions qu'il se pose
Je ne sais que dire ce que sont ses deux parents
C'est là une photo dans la vie d'un petit enfant
Mais je me dis en le voyant très détendu
Je ne sais voir d'autres choses que sa curiosité
Personnellement; Je ne lui demanderais rien de plus
Il est de ces petit riens qui me plaisent beaucoupBruno Quinchez le 25 décembre 2020 Noël 2020 et quelques pensées pour Jésus
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Des pensées personnelles
- Le 21/11/2020
- Dans Chroniques des temps qui passent
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Des pensées personnelles
Parfois je me dis,
en pensant en moi-même
Que vais je écrire vraiment
sur tout ce que j'aime!Je sais seulement
des histoires très enfantines
Les gamins qui disent
leurs vies trop anodinesJ'ignore si un poète,
c'est vraiment cette vie bavarde
Poètes qui soient irremplaçables,
poésie dite celle d'un bardeLe ciel, il contient plus de choses
que nos petites têtes
Il y a des myriade de vies,
et des milliards de poètesUn jour qui vient aujourd'hui,
et un jour qui passe
Ce sont des milliards de vécus,
pour nos carcassesLe temps bavard,
il nous arrache tous nos propres mots
Sommes nous des enfant,
ou de ces grands nigauds ?Écrire ! Maintenant
cela ne me tourmente plus beaucoup
J'ignore tout ce que vous êtes !
Oui ! Êtes-vous dans le coup ?Sur le net je me dis que ce que je lis;
se sont des propos aberrants
Mais je me dis aussi
que c'est parfois plutôt des trucs marrantsY aurait il un jour qui vient maintenant,
une manière de se dire
Entre tout ce qu'on aime,
cela sans vouloir tout maudireLe ciel parfois, il nous tient
de ces mots qui sont très communs
Je sais pour aujourd'hui et hier,
mais je ne sais pas pour demainBruno Quinchez Paris le 21 novembre 2020
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Mon Mois d'Août
- Le 05/08/2020
- Dans Chroniques des temps qui passent
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Mon Mois d'Août
Regarder briller dans le ciel, ce chaud soleil d'aout
Et toutes les fleurs qui sont toutes épanouies
Dans un désordre qui est parfois trop mal établi
Ne pas savoir se dire , mais avoir juste un douteOublier toutes ces horreurs qui sont promises
Parler doucement avec sa proche voisine
Et voir en elle, peut être une très bonne copine
Et faire des choses qui nous sont permisesUne vie dans un monde affreux et qui se tait
Avec des amis qui sont maintenant trop lointains
Ne pas savoir ce que l'on dit de nos lendemains
Faire le choix d'aimer boire un bon verre de laitAttendre ! La belle affaire ! Nous disait le grand jacques
Je sais des promesses et je sais aussi des arnaques
Les petits riens qui sont les plus importants, hélas !
Ce sont des sourires sous un masque, moi ! Je suis trop lasNe pas jouer son théâtre dans un monde de grossses têtes
Mais reste un poète qui se veux humble et pas trop bête
Il y a du monde qui écrit ici et là quelques poèmes redoutables
Dans tous ceux que vous lisez, et de ceux que vous croyez admirablesJe sais des vacances, je sais des lieux tristes et je sais aussi des poètes
Alors dire : je t'aime ! Ces mots ,ils ne seront jamais trop obsolètes
Je reste ici à Paris je sais des gens qui vivent mal le confinement
J'ignore ce que vous aimez ! Je trouve ce temps assez dément...Bruno Quinchez Paris le 5 aout 2020
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A la mémoire des absurdes présents
- Le 31/07/2020
- Dans Chroniques des temps qui passent
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A la mémoire, des absurdes présents
Allez maintenant ! Déroutons le passé !
A la mémoire, de tous nos passés...
Déroutons nos présents, dès maintenant,
Prenons les étoiles, dans nos petites mains,
Et de nos petites habitudes quotidiennes,
Alors faisons les chemins incroyables,
Arrêtons de nous faire notre cinéma,
Soyons vivants ! Vivons pleinement !
Apprenons aussi à tous nos enfants,
Tout ce que nous aimions vivre,
Et à ces mutants du futur,
Improvisons pour eux l’avenir,
Réapprenons leur, à pouvoir rêver, vraiment...
Cela sans machines qui sont connectées,
Entre les ordinateurs ou les portables,
A nos enfants, des imitateurs fidèles,
Apprenons leur, la musique des étoiles,
Over drive stellar for new génération,
Planons dans des bêtes raves,
Qui sont toutes pleines d’amphétamine
Ces choses de l'ordinaire qui est parfois si dur
Oublions tout ! Et vivons ensemble !
Emmerdons de tout nos cœurs
Ces choses qui sont bien trop humaines
Nos chefs d’œuvres qui sont consommés,,
Entre celle que l'on aime et celles qui s'imposent
Cœurs de cibles, je tire dans ton cœur en direct,
Gamins avec des myriade de trucs sur le net
Tu n'es qu’un naze, de la publicité ciblée,
Oui ! Tu n’es que ce naze qui est très commun,
Un naze nasillard, qui croit n'importe qui
Des trucs dits parfois, c'est une philosophie de nazi,,
Des nazis qui se croyaient des surhommes
Mais ils oubliaient la tendresse envers les autres
Dans une violence assez méchante et cynique
Pour certains les désirs se sont des ordres
Des gens qui rêvent d'un monde trop banal
Avec des choix qu'ils nous imposent
Mais peut-être pas, dans mes rêves
Je sais des publicité, et de la propagande
Pour des consommateur trop ordinaires
Entre une voiture qu'on utilise pour se déplacer
Et des crédits que l'on paye pour toute une vie
Il y a Parait il quelque quinze personnes qui sont très riches
Elles possèdent parait il autant que 99% de l'humanité
Je ne sais pas si je dois les haïr pour moi c'est de la folie
J'ignore ce que je vaux je sais des lecteurs qui le lisent
Lecteur ! Dis moi que tu m'aimes ! Juste ce petit truc sympa
A la mémoire, de nos maîtres,
Qui ouvraient leur prêt à penser !
Dans d'incroyables baratins complexes,
J'ignore si un jour on parlera de la vérité,
A la mémoire des esclaves,,
Ceux que nos nous sommes, des cons sommateurs !
A la mémoire de nos enfants,
qui sont conformes à tous nos cauchemars !
A la mémoire du lendemain que nous rêvions,
où tout irait pour le meilleur de tous !
A la mémoire des putes de la publicité,
Celle-là qui nous bourrent de gadgets !
A la mémoire des passés d’autres temps,
où, nous étions vraiment libres de rêver,
A la mémoire de nos frères,
dont les sanglots peuplent nos vies
Bruno Quinchez Paris le 15 avril 2005
Texte retravaillé, Paris le 31 juillet 2020
Que serons-nous demain ?
cela Je ne le sais pas trop !
Je ne suis pas prophéte -
Les Feux de la saint Jean 22 juin 2020
- Le 22/06/2020
- Dans Fêtes
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Les feux de la saint Jean
Madame ma Lune, je vous attends aux brasiers de fêtes
Je vous allumerai d'un feux amoureux, celui qui vous brule
J'irais décoiffer vos cheveux pour savoir, comment vous êtes
Madame aux yeux noirs, cœur de panthère aux caniculesMon cœur sera à vous et vous le dévorerez tout saignant
J'irai en flamme, vous couvrir d'un brasier de baisers
Une envie de vous faire mille enfants et encore des enfants
En Neuf mots: je peux vous aimer et je veux vous baiserAux feux de la saint jean nous ferons milles et une bêtises
Je commencerai par vous caresser, puis plus mignardises
Je m'enfouirai au plus profond de vous, de l'amour et du plaisirDame Danielle, vous venez très tôt et très tard dans ma vie
Je vous ai vue plusieurs fois, vous êtes bien dans mes soucis
Mais vous savez aussi que toujours il ne reste que le désirBruno Quinchez Paris le 24 juin 2017
un texte de 2008 mis sur le site le 22 juin 2020Suite...
Roi de cœur, celui-là toujours vainqueur en amour
Dame de pique qui est très cruelle et toujours sans détour
Valet de carreau qui consigne sur papier vos petits mots
Dix de trèfles, entre un rien du tout et un grand showNeuf de cœur, qui lui il est de famille plus modeste
Huit de pique qui est toujours d'humeur la plus funeste
Sept de carreau, le nain jaune de toutes les belles dames
Six de trèfles entre ce qu'on aime et où l'on se damneCinq de cœur pour ce coq gaulois qui chante au petit matin
Quatre de trèfles comme ce porte bonheur de son propre destin
Trois de carreau, pour une fin de partie, celle-ci qui est engagée
Deux de pique le petit peu du rien du tout qui est engrangéAs de pique la carte la plus forte
Celle de la femme qui est morteBruno Quinchez Paris le 24 juin 2017
Un rajout sur le même sujet Paris le 22 juin 2020 -
Comment écrire ?
- Le 31/05/2020
- Dans Humour
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Comment écrire ?
Comment pouvoir dire un truc immortel qui restera ?
Cela je ne le sais pas trop, sans doute une chose commune !
Ma bibliothèque, elle est faite de beaucoup de choses écrites
Parfois un petit je t'aime que je lise sur le site, c'est bien suffisant !
Être lu ou être connu tu parles, je sais plein de poètes inconnus…
Qui sont dans ma petite bibliothèque au milieu des poussières !
Victorugueux le bavard, est-il vraiment un gars qui est sérieux ? -
Slam ... Tentative n°1... La montagne
- Le 09/04/2020
- Dans Chroniques des temps qui passent
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Slam... Tentative n°1... La montagne
La montagne a accouché
D'une souris verte
qui à bouffé notre fromage
y'a plus de fromage pour moiy'a plus de fromage pour toi
Et y'a plus de pizzas au fromage
Pizzaoilo tu n'as plus de pognons
la montagne a accouchéD'une souris bleue
Qui a mangé tout notre blé
y'a plus de blé pour faire du pain
Y'a plus de blé pour faire des pizzasPizzaiolo tu pointes au chomâge
La Montagne a accouché
D'une souris grise
Qui nous a bouffé notre pognonY'a plus de pognon dans mes poches
Y'a plus de pognon chez mon copain
On va tous dealer des trucs très cher
Qui font voir des éléphant rosesLa montagne a accouché
D'un éléphant rose
Qui nous a promis plein de trucs
Des truc bizarres avec des loisDes lois qui seront jamais appliquées
Faut pas nous prendre pour des gogos
La politique a accouché de rien
l'absence comme un vécuLa montagne a accouché
D'un truc Bizarre et gris
Qui nous fait rêver de matins bleus
J'aime bien ce truc bizarrePour une fois que la montagne est sympa
Dis montagne tu remballes
Les souris, l'éléphant et toutes tes connerie
J'en ai parlé à ma femmeLa montagne n'a plus accouché
Ma femme était comme un éléphant
Et elle a accouché d'un bébé rose
La montagne avait bien travailléMerci madame la montagne
Ma femme a accouchée d'un bébé rose
Que j'aime ce jardin dans la montagne
Un tout petit jardin très intimeBruno Quinchez Paris le 24 octobre 2006 et le 9 avril 2020