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Femme !
- Le 08/03/2020
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Femme! je vous aime…
Une jolie femme et encore assez jeune donc désirable se passait sur ses ongles, un vernis rose et fluo, pour aller danser en boite, elle songeait aux gars qui la draguaient, certains lui disaient des choses gentilles du genre, Dis mignonne tu as de jolis yeux!
Quelques un parlaient de sa bouche assez pulpeuse avec des lèvres purpurines d'une couleurs d'un rouge visible de très loin, en dansant des slows ou des danses de contacts très proches
Elle engloutissait des pendentifs de fraises et elle mangeait sans honte des hamburgers avec des cornichons posés doucement entre deux tranches de toasts de couleurs brunes avec un peu de sauce au paprika.
C'était un délice la voir avaler, dans un gloussement de plaisir immense, ces concombre dans un violent soupir, qui laissait ses admirateurs plein de questions, sur son point G…
Etait-il placé au niveau de sa bouche délicate et purpurine. Je savais que la dame était lesbiennes et qu'elle ne couchait jamais avec des mecs, malgré ses seins parfaits et désirables, ses hanches d'une belle Antiope et son cul de Vénus…
Plusieurs gars, aventureux, ils avaient bien essayé de coucher avec elle, mais tout cela restait purement à de l'oral et tout passait par sa bouche, ses paroles douces, sa sexualité dans les longues libations orales et parfois sexuelles,
Elle redoutait tellement les sexes des hommes; qu'elle se contentait de tout faire avec sa bouche, une bouche délicieusement coquine, de celles d'une mutine qui resterait vierge, sans que l'on ne sache vraiment pourquoi…
Quelques caïds de banlieues, ils essayèrent bien de l'embobiner dans des histoires incroyables comme des houris ou des saintes vierges Mais la dame préférait sans aucun doute, le sexe oral, elle était sublime lorsqu'on l'embrassait sur la bouche
Et l'homme que je suis, Il ressentait un bon gros désir mais passé l'énorme baiser sur ces grosses lèvres roses et de couleur purpurine, cela restait à quelques caresses et pas plus, elle avait acquis une grande réputation d'allumeuse dans ce monde de la fête et des boites de nuits…
Mais tous les mâles normaux la respectait car question du désir qu'elle savait inspirer aux mâles qui était présent dans ces fêtes. Non! On ne faisait pas mieux, cinq minutes dans ses bras, cela valait au minimum dix nuits avec toutes celles de la fête...
Bruno Quinchez 25 janvier 2020... Remis en forme le 8 mars 2020
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la foi qui sauve les montagnes...
- Le 03/03/2020
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La foi qui sauve les montagnes...
On parle souvent de la foi,
De celle qui déplace les montagnes
Mais connaissez-vous cette foi ?
Celle qui préserve les montagnes !Je me suis souvent demandé,
En y réfléchissant et en lisant l’évangile
Sur la foi selon jésus, si cette foi,
Celle qui transporte la montagneSerait-ce une foi redoutable ?
Et qui serait assez plutôt périlleuse
Alors que ma foi, c’est celle
Qui me préserve du pireC’est celle qui fait la vie humaine
Et la protection de la nature
Nous passons dans nos vies
Entre divers âges de l'enfant au vieuxDans le panthéon hindou,
il y a trois dieux importants
Le créateur, le destructeur
Et celui qui maintient la vie,Ces trois dieux du monde hindou
Ils se complètent aussi dans tout .
Pour notre monde catholique
ils ont inventé la trinitéA savoir que la vie,
Elle ne saurait pouvoir exister
Sans la mort, sans la naissance
Et sans une vraie duréeVieillir cela rends sage
Et se savoir mortel et fragile
Un vieux monsieur,
Il ne raisonne pas comme un enfantDans toute notre science
Celle de note monde contemporain.
On admet aussi que la vie
Elle est très liée à l'entropieA savoir tous les changements
Successif de notre corps
Parait-il qu’il existe aussi
une mort cellulaire en nous,Ils disent que c'est l’apoptose
Qui permet la continuation
Et aussi des dégradation de la vie,
Cela même si pour certainsL’immortalité c’est un aussi
Grand rêve des gens croyants
Le club des immortels,
Parfois il se trompe dans son mondeJ’aime, et j’aimerais toujours
L’idée d’un bon et grand amour
Mais hélas quand je sais
Que demain ce n’est jamais que demainJ’accepte alors cette idée,
De l’entropie destructrice très commune
Nier l’entropie, c’est la base de la foi,
et celle-ci é happe à toutJe ne sais toujours pas
Si cette montagne qui est bien enracinée
Elle bougera certainement
sous le poids de ma foi. ArdenteJ’aime l’idée que la foi,
Cela reste une chose qui est possible
Parait il que pour déplacer la montage,
Il suffit d'un grain de foiComme est possible
Aussi je vous le dis, le néant et le vide
Notre monde il vit encore,
Malgré tout avec sa grande convictionA savoir, croire que la mort,
Elle reste la seule issue qui soit possible
Mais ! Que dire aussi ?
Cela en quoi vous croyez pour vous mêmeMonsieur ! Essayez donc,
De marcher un peu dans le vide
Vous savez en ce qui me concerne !
Moi ! Parfois je ne doute de rien…J'ignore si un jour je verrais,
La montagne bouger même de très peu
Dans mon passé, je sais bien
Que j'ai fait de ces choses très bizarresQuelques fois, je pense
à tous les trucs ce que je pourrais faire
Cela sans me prendre pour un dieu,
Y aurait-il un vrai but ?A savoir que choisir
Entre tous mes fantômes de mon vécu
La seule solution que j'accepte,
Ne rien dire, rester silencieuxBruno Quinchez Paris le 5 mars 2011 et retravaillé le 3 mars 2020
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Balade en automne
- Le 02/03/2020
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Balade en automne...
Dans les brumes froides d'un Paris plutôt triste
de ce début d'automne, un peu avant la Toussaint.
Victorugueux déambulait dans le cimetière du père Lachaise,
un lieu où sont enterrés Pas mal de gens célèbres...
Victor, il se posait la question
Trouverait-il la tombe du poète immortel ?
Celui dont Denis soutenait avec force
Comme étant son seul père artistique,
Je regardais donc, parmi toute ces tombes !
Non ça ne devait pas être le gars Abélard
Un très vieux monsieur d'autrefois
qui est le plus vieux dans ce cimetière...
Oui ! Je ne doute pas qu'il ait été célèbre,
mais pour dame Héloïse, sa compagne connue
elle avait eut peut-être aussi d'autres amants,
J'ignore toutes les très vieilles histoires
Et malgré tous ce qu'on disait sur lui,
e gars Abélard, il ne méritait pas
le titre de poète immortel...
Il est trop mal connu de nos jours
Je pensais à d'autres gens
Comme Jacques Brel,
mais lui, le grand Jacques,
un chanteur célèbre
il avait préféré, se faire une tombe
là-bas dans un paysage de vacances très lointain
Cela tout près de Paul Gauguin, le peintre,
tout là-bas aux marquises dabs des îles lointaines
Dans un pacifique, beaucoup trop grand
Ces Tahitiens qui disent de vraies solitudes
dans des grandes étendues d'eau entre les îles
Peut-on se déplacer autrement qu'en avion ?
Jacques Brel,, Il Jouait les taxi pour des polynésiens
En se déplaçant sur de longues distances
Dans un hydravion qu'il proposait aux polynésiens
Les voyages en bateau, ils sont trop longs
Je songeais à un autre personnage
qui était très connu dans ce cimetière,
Un mort très célèbre avec une tombe
Qui est toujours fleurie de mille fleurs
Et qui est aussi toute pleine de graffitis...
Oui là ! Je pense à Jim Morrison
un gars qui se prenait parfois pour Rimbaud,
mais ce Jim Morrison il avait ce petit défaut
C'est qu'il causait qu'en anglais sa langue
Et ça ne serait pas facile, de le comprendre
Dans toutes les nuances de ses chansons
surtout avec le prix Nobel de littérature 2016...
J'ai nommé, monsieur Robert Zimmermann,
autrement dit le chanteur Bob Dylan...
Un chanteur américain connu ?
Non ! Car je savais déjà Un empire par l'argent,
Puis non, je ne prendrais pas
Ce bonhomme trop médiatique
Comme le poète immortel,
celui Qui est au père Lachaise...
Je me disais en y réfléchissant
qu'il y avait pas mal d'autres candidats
qui sont susceptibles d'être ce poète immortel
comme dans les fantaisistes, ou des gars que je considérais
comme n'étant pas sérieux, j'ai nommé monsieur
Le spirite Alan Kardec un baratineur et pas plus
Et il y avait peut-être aussi du coté du mur des fédérés,
ce mur fameux des fédérés Qui était surement trop connu
Et tout plein de ces bavards immortels,
des gens comme monsieur et madame Montand
et aussi tous les pontes du PCF Depuis les débuts..
Un cimetière avec tous les anciens combattant
.
Sans doute avais-je gardé un peu de tendresse
pour une grande dame Qu'était la chanteuse Edith piaf...
Une dame du Paris de toujours, entre hier et aujourd'hui
Quelque s cours occupée par des chanteurs et chanteuse
mais j'avais aussi gardé pour moi, dans mes grands amour
Une dame qui était couchée là dans ce milieu des tombes
qui sont rangées au cordeau; je savais la tombe de cette dame
que j'aime beaucoup, madame la chanteuse Danièle Messia.
En me laissant allez tranquillement
dans les rêves tout en marchant
et en me baladant tranquillement
Parmi toute ces tombes en rang
Qui sont alignée avec des lieux
qui leurs sont propres
Quelques oiseaux noirs
entre des merles et des corbeaux
Qui Se promènent dans les allées
sans vraiment être ennuyés par des hommes
Dans un automne avec brouillard,
ce qui est normal en automne...
Un cimetière en automne de la grande nostalgie
Oui là! J'en étais sûrement a évoquer
toutes les vapeurs trop sombres,
Tellement sinistres
De cette atmosphère qui est délétère,
celle du Paris morbide dans les poèmes
Du gars Charles Baudelaire.
Puis je pensais alors en moi
Que s''il y a parfois de ces choses sinistres,
et qu'il y avait aussi des choses plus douces
et qui sont des plus aimables,
Savoir attendre le printemps
Dans les gens qui dorment ici...
Je cherchais alors, et le me disais
y-avait-t-il ici, de ces musiciens français
ceux du début du vingtième siècle ?
Des gens comme Ibert, Debussy, Ravel ?
Et là mon âme, elle s'éclairait
et elle s'amourachait de ces gens
et de leurs vies de musique
Car ils restent toujours des immortels
par leurs œuvres, que j'aime beaucoup
je ne doutais plus; je me disais
Que pour le titre de poète immortel,
Je pensas en moi-même
que ce titre de poète 'il irait bien
A un de ces musiciens français
des années mille-neuf-cent
Comme le musicien Eric Satie
Ou bien un de ces trafiquants
De musique légères et prenantes,
de ces morts que j'aimais
Avec leurs musiques de piano....
Oui ! C'était bien une longue méditation
qui finissait avec un peu de nostalgie,
cela j'y songeais, très mélancolique
Tout en marchant dans ce cimetière
Et en songeant à quelques gymnopédies,
musique de Eric Satie il me semble
Un gars de ce début du vingtième siècle
dont Denis essayait dans ces essais maladroits
et pianistiques d'attraper, avec son piano
La quintessence de ce piano où il jouait
Je me disais; à chacun son truc dans nos vies
il y a de multiple sortes d'arts pour un artiste,
Entre l'art de la musique et l'art d'écrire
j'aime écrire, je connais peu la musique
Bavard incroyable ! Je poétise parait-il
Puis quesaquo que toute la poésie ?
Une question dont je ne sais pas la réponse
La musique parfois elle me réjouit le cœur
Et non je n'essaye jamais d'en jouer '=
J'aime écouter toutes ces musiques
mais je ne sais pas jouer d'un instrument
J'ai autrefois essayé de jouer de la guitare
Mais j'étais incapable de connaitre les accords
Entre un Fan un Do, un Sol...
Oui ! Je connais le nom des note
Mais pas j'ai du mal avec le solfège
le poète que je suis ,il n'écrira jamais une musique
J'ai pourtant écrit de nombreux poèmes
ça vient de mon cœur, et pas de la musique
C'est peut être curieux pour vous de dire
que le poète que je suis, il est nul en musique
Mais je m'en moque un peu,
j'écoute de la musique à la radio
Je laisse aller les mélodies
Et si ça me va ! Je n'en dis pas plus
Bruno Quinchez Paris le 28 octobre 2017 et le 2 mars 2020 remise en forme -
Existentialisme
- Le 27/02/2020
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Existentialisme...
Sartres disait autrefois dans ses écrits " L'Enfer c'est les autres "
Des fois, je le comprends un peu, malgré tous ses propos bizarroïdes
Et d'autres fois je me dis ! Non ! ce qu'il dit, je n'aime pas du tout
L'autre ! Oui ! C'est bien cet emmerdeur trop indispensable
Il y a une vraie dialectique philosophique, entre nous tous
La vérité ? elle se partage et ce n'est pas une grande solitude
Mais vous savez cette vérité, elle est toute vraie, et cela toujours
Car la vérité, elle n'est pas une opinion, qui ne serait que personnelle
La vérité ? C'est la loi commune à tous, pour une vie partagée
Parfois je lis, sur le site de TLP, des poèmes qui se disent existentiels
Dans les faits ! Non ! C'est juste un vécu, celui d'un individu bavard
Puis vous savez ! Je connais mal tous ces philosophes existentiels
Ce mec que je suis, celui qui écrit là où vous lisez ! Oui...C'est un emmerdeur !
C'est un poète bavard qui parfois, il écrit des textes poétiques divers et variés
La poésie ? Sans doute ! Elle n'a que faire, de ce monde où nous sommes
J'ai parfois, une petite pensée, pour tout ce passé lointain de ma mémoire
Et ne plus savoir vraiment, tout ce que nous disait Sartres, dans ses écrits
Et peut-être pour moi , vouloir se moquer de certains de mes contemporains
Il y aurait parait-il plusieurs milliard d'écrits poétiques dans les bibliothèques
Et ils sont tous rangés maintenant, dans ce qu'on appelle la Grande Bibliothèque
Il est sans doute assez idiot de se croire l'unique poète, dans un monde écrit
Ce silence qui repose parfois, vous savez, il m'inspire beaucoup
Et c'est alors, tout un monde étrange, celui qui vient en moi-même
Je me fous un peu; de ce que disent, tous nos hommes politiques
Croyez-vous qu'un jour, il y aura un truc inouïs, qui soit vraiment immortel ?
Dans les faits, je sais bien des fous, dans ce monde de la Physique
Qui voudraient faire des choses bizarroïdes, comme s'ils étaient dieu
Le ciel parfois, il me dit aussi, en regardant ce monde du quotidien
Non messieurs de la physique ! Vous êtes beaucoup trop dangereux...Alors taisez vous !
Les enfants de notre futur qui viendra ! Iront-ils un jour dans les étoiles ?
Certes on peut facilement imaginer plein de choses en physique
Mais je sais aussi la nécessité d'un monde qui soit cohérent
Nous ne sommes pas des dieux, cela n'en déplaise aux dingues
Un jeune enfant, il se demande parfois : Comment ça marche ?
Je me dis parfois que tout est possible ! Mais tout n'est pas bon aussi
Des histoires de fric, ça tue tous mes bons rêves, ceux-là que je fais en moi
Mais parfois je n'entends de ces gens, qui s'intéressent à mon pognon
Ce monde contemporain, s il est peut être sans haines, mais il n'est pas sans guerre
Je ne sais plus pourquoi, il y a de nos jours, toutes ces guerres, dans ce monde
Un enfant il rêve beaucoup, et je me dis que j'aimerais bien, qu'il réalise ses rêves
Mon passé vécu autrefois, malgré moi il était assez violent, l'Europe elle nous apporte la Paix
Nos contemporains ils se font des guerres ! Et cela à cause de leurs propres foi...
Bruno Quinchez Paris le 2 mai 2005 et le 27 février 2020 -
Les labyrinthes...
- Le 26/02/2020
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Les Labyrinthes...
Le rêveur, qui marche en rêvant, dans le labyrinthe
Croisera-t-il le minotaure ? Ce croqueur d'enfants perdus,
Et verra-t-on un jour, celui que l'on dit le roi des Aulnes
Dans un monde ou l'argent, il tue tous les mythes d'autrefois
Le fil d'Ariane nous permettra-t-il de vous en sortir
Oui ! Pouvoir sortir avant le crime, il ne se commette ?
Ou le rêveur, deviendra-t-il à son tour un assassin ?
Je ne sais pas, parfois choisir, parmi toutes ces choses
Ce sont mille questions, que je me pose toujours
Questions sur cette banale réalité, celle que nous vivons
Quand les enfants, de notre époque, ils n'ont pour guide
Que le programmes TV et des émissions choisies
Ou des cliché multiples en informatique, sur la réalité de ce monde
Comment croire, toutes ces petites choses, de ce monde connecté ?
Je ne sais pas vraiment, faire la différence, entre l'info et la rumeur
La critique la plus simple, c'est peut être d'avoir une culture choisie
Autrefois vous savez ! Pour les libres enfants de Summerhills
Ceux-là de ma mémoire, dans mes années soixante-dix
Je me disais qu'ils ignoraient trop de choses de notre réel
Ils vivaient dans un monde qui était beaucoup trop libre
Car leur monde, il était sans limite et sans bornes
Un monde d'enfants de riches qui ignoraient la pauvreté
De nos jour, je les verrais bien, patrons de boites informatiques
Peut être ne sont-ils pas vraiment, des gens très intéressants
Je n'aime pas, ce monde des médias car ils savent trop de choses
Et ils s'intéressent surtout, à notre petit compte en banque
Alors que notre réalité, elle ne reste qu'un vaste labyrinthe
Dont personne jamais ne vous donnera les plans pour en sortir
J'ai appris dans ma jeunesse quand j'étais gamin chez les boys scouts
A prendre un azimut et à me servir d'une boussole et une carte
Plus tard l'informatique, celles que je pratique maintenant sur mon ordi
Elle m'a appris, tous les algorithmes nécessaires, pour communiquer
Mais personne ne m'a jamais donné, des plans qui soient exacts
Sur ce monde contemporains, qui est beaucoup trop compliqué
J'ai lu dans des livres, que je lisais dans mon passé, avant l'informatique
Des labyrinthes mythiques comme ceux des grecs anciens
Et quelques fois de nos jours, j'en vois dans des mangas japonais
Parfois je me dis, que internet, c'est sûrement un grand labyrinthe
Dans les labyrinthes, il ya tous ceux de la littérature, dans des livres
Et aussi tous ceux des mathématiques, dans des logiques incomprises
Mais aucun de ces labyrinthes, Ils ne nous donnent sa solution
Mais il ne pose jamais que l’énigme, des milles questions réitérées
Je le sais bien, que nous sommes, dans le labyrinthe de la vie
Ce n'est pas un mythe, mais ce sont tous ces murs, qui se dressent
Parfois je me dis que j'aimerais être avec elle, Madame Danièle
Celle-là si lointaine, c'est un amour de mon passé que je garde
Mais pour savoir choisir ,toutes les bonnes voies, qui vont là-bas
Se dire que parfois, dans nos vies, il y a des choix qui sont mauvais
Mais c'est ne pas savoir vraiment , ce qu'on doit faire pour demain
Savoir choisir entre les bonnes issues et toutes les fausses sorties
Ne pas désespérer, c'est la meilleur chose, dans ce qu'on m'a appris
Car la solution, c'est de dissoudre le labyrinthe, le faire disparaitre
Par le doute absolu, que nous devons avoir de cette réalité labyrinthique
Et la certitude absolue, que la vérité, elle reste toute simple
Mais je sais que pour beaucoup de gens, ils préfèrent le labyrinthe
Car chercher le chemin c'est très stimulant pour l'esprit
Alors que la vérité nue, c'est une évidence beaucoup trop simple
Oui La chose la plus belle cela reste celle avec un bon regard
Sachez voir autours de vous ! Sachez ce que vous cherchez !
Cherchez-vous la vérité ? Ou aimez-vous le labyrinthe ?
Ce truc bizarroïdes dans lequel vous y êtes encore
La vie est faites de quêtes d'enquêtes et de requêtes
La vie devient partage quand vient la confiance en l'autre
Il est rare que les chemins des uns, ils soient aussi le chemin des autres
Nous avons tous des vécus, et des éducations, qui sont différentes
Je sais seulement, que je ne suis pas meilleurs, ni pire que vous
demain je ne sais pas ! Car il ya trop de choses qui sont à faire
Entre autre soigner, notre petite planète la Terre , Là où nous vivons
Bruno Quinchez Paris le 17 juin 2005, et le 26 février 2020 -
Un Pouvoir écologiste ?
- Le 05/02/2020
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Un Pouvoir écologiste ?
Je ne sais pas vraiment ce que je peux vous dire
Sur ce monde, celui où nous vivons avec nos politiques
J’écoute ma radio qui parle d’écologie et d’humanité
Comme des vers de terre qu’on collecte, et les hommesJe songe entre le temps passé de monsieur Darwin
Et tous mos horreurs, celles qui sont dites de la consommation
A savoir que de nos jours il y a beaucoup trop de plastiques
Et pas vraiment de vision politiques sur ce sujet problématiqueNotre terre, sans doute elle est limitée on verra ce qui arrivera
Les histoires avec la nature sont encore nouvelles et mal comprises
Je ne sais pas ce que sera le meilleur ni le pire pour demain
Il n’ya pas de loi pour le futur qui soient vraiment écrites
Mais que dire Sur nos vies terrestres, nous somme terriens
J’ignore la morale puissante des religieux américains des USA
Parfois je me dis que la pollution, elle est vraiment ignorée
En Amérique Il n’ya que les lois qui dont dites de la bibleParfois J'entends aussi parler de mondes qui sont différents
Entre les indiens d’Amérique et les tous les singes trop humains
Il est parfois absurde, de vouloir d’en parler dans notre modernité
De se croire uniques et vraiment essentiels, voire maitre de ce mondeNous vivons Dans un monde moderne et qui est seulement humain
Je doute de plus en plus de certaines choses d’une morale écrite
Comme ce qu’il y a dans la Bible et dans tous ses baratins écrits
Un monde qui est crypté pour une justice pour quelques-unsOn verra pour demain, c’et à dire ce qu’il y aura dans trente ans
Mais le pire qui est annoncé par des écologistes contemporains
Ces gens qui nous disent plein de choses affreuses, de notre monde
Sur notre consommation et ses horreurs en autre le plastiqueOUI On verra bien ce que sera la terre demain dans notre avenir
Mais Pour moi je pense qu’on est vraiment des gros dégueulasses
Le pire ? Il n'est pas écrit de nos jours, alors je ne sais pas vraiment
Et on verra bien notre lendemain, un monde qui reste à faireA savoir que Le temps présent se soucie de ses problèmes
Peut être connaitre tout son passé et savoir faire du neuf
La France, elle n’est pas les États-Unis, ni la Chine ou la Russie
Mais juste mon petit pays dans une Europe communePessimiste ou pas, ce monde, il reste à faire à choisir
Il est des choses que j’ignore et des choses que je vis
Le meilleur parfois sont des choix de cœur, voire religieux
Je ne sais pas si la morale intervient toujours dans nos viesBruno Quinchez Paris le 5 février 2020
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La Relativité d'Einstein devient-elle une croyance ?
- Le 03/02/2020
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La Relativité d'Einstein devient-elle une croyance ?
Je vois des scientifiques bornés qui ne croient plus que dans la relativité du père Einstein, un autre monde que la relativité pour eux c'est impossible parce qu'il n'y a pour eux que la relativité. Bonjour l'Enfer ! Notre Terre pour nous qui vivons dessus, elle reste limitée et cela malgré nos contraintes de population et de consommation. Oui ! Elle ne suffira sans doute pas pour pouvoir assumer toutes nos folies ! Avec cette vision limitée, on ira peut-être difficilement sur Mars, mais on n’ira sûrement pas plus loin ! Puis pour les étoiles et le mur de la lumière C ? Là ! Je ne saurais que dire? Mais je sais qu'il y a des gens qui parlent de choses comme la magnétodynamique ! Voilà un concept de la physique pour dépasser la vitesse de la lumière ! C'est en changeants certains paramètres de notre mécanique des fluides electrodynamiques. après tout ce ne sont jamais que des histoires de mécanique des fluides, où les objets, ils sont dans un milieu électromagnétique. Oui ! il faut inventer une méthode pour voir les ondes gravitationnelle et l'électromagnétisme qui va avec, Dans toute sa théorie de la gravitation Einstein, il a fait un truc la dessus avec la lumière comme seule référence. L'électromagnétisme, c'est un monde où tout est à la vitesse C. Il faut changer la longueur d’onde, celle qui donne le phénomène d'augmentation de masse. Oui ! Il faut y voir là une énergie de la masse qui augmente Cette énergie qui est due aux chocs des photons sur l'objet en mouvement, cette énergie qui augmente lorsqu'un objet, il se déplace dans ce milieu électomagnétique, oui ce monde des photons, le milieu où nous sommes. Donc il faut considerer l'énergie d'un photon qui frappe un objet en mouvement. Les photons ils sont gérés par une mécanique des fluides électromagnétique. C'est à comparer à un objet qui se déplacerait lui dans ce monde du son, Le mur du son, c'est sûrement un phénomène similaire. Il est à savoir que l'on arrive à dépasser la vitesse du son, alors pourquoi ne pas comparer la vitesse de la lumière avec la vitesse du son ? Ce sont tous les deux des phénomènes de mécanique des fluides ! Mais c'est mal vu, d'en parler pour la lumière, car ça déplait beaucoup que l'on dépasse dans la relativité ce fameux mur de la lumière C de la vitesse de la lumière sans doute parce qu'on y met une causalité.MLes phénomènes électromagnétiques, ils sont bien à gérer dans un concept de mécanique des fluides qui est similaire au son.
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le temps qui passe...
- Le 02/02/2020
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Le temps qui passe...
OUI ! Mais alors que pourrais je vous dire à vous
Il y a la météo variable et qui change tout le temps
Et Hier c’était de la pluie qui tombait sur mon Paris
Je ne sais pas trop le temps qu’il fait chez vousLà je tapote sur mon clavier comme d’habitude
Et j’ai aussi quelques angoisses qui me viennent
Car là, vous savez Je n’aime pas trop vieillir
Je suis maintenant un vieux crouton assez vieuxQui est maintenant âgé de soixante huit ans
Il vit son ordinaire avec tous ses petits problèmes
Tous ceux là du quotidien bien trop habituel
Le poète qui est en moi, il continue de vous aimerAvec ce silence de la vraie solitude quotidienne
Oui car Je ne sais plus dire des belles choses
Sinon que je continue de vouloir encore vous aimer
Mais je vous trouve que vous êtes beaucoup trop lointainsLe soleil et la pluie, ils sont mon quotidien mon ordinaire
Un poète Quesaquo ? Oui je ne vois que des connexions
Mais j’aime croire à tous ces vivants qui sont sur l’internet
Une connexion elle est faite de beaucoup de choses diversesVous savez Ce matin je me suis levé assez tard, je dors trop
Et je me dis Quelques amies, quelques amis, ils me suffisent
Je vous compte parmi tous ceux là du monde des poètes
Je me moque parfois de certaines choses du net trop bavardJe suis Dans ma grande solitude, celle que je vis en ces jours
Je ne sais que vous dire, à vous tous un grand "je vous aime!"
Il y a des histoires qui parlent à mon cœur d’autre à ma tête
Une amie peut parfois vous guérir d’une angoisse cruellePour demain je ne sais pas vraiment ce qu’il sera, et il vient
La mort n’est pas une solitude mais une absence cruelle
Je ne suis plus un enfant j’aimerais revoir mon passé
Mais je sais aussi que je ne pourrais vraiment le changerMille milliards de mots dans plein de nouveaux poèmes
Le poète que je suis, il ne sera plus vraiment là avec vous
Les bibliothèques sont pleines de la poussière et des mots
Ouvrir un livre, et refaire un monde, par cette bonne lectureBruno Quinchez Paris le 2 février 2020
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Une Femme
- Le 25/01/2020
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Une Femme…
Une jolie femme que je regardais
Qui était encore assez jeune
Donc pleinement désirable,
Elle se passait sur ses onglesUn vernis rose et fluo
Pour aller danser en boite,
Elle songeait aux gars
Qui la draguaient,Certains, ils lui disaient des choses
Plutôt gentilles du genre,
Dis Mignonne ! Tu as de jolis yeux!
Quelques uns ils lui parlaientDe sa bouche assez pulpeuse
Avec des lèvres purpurines
D’une couleur éclatante
D’un rouge visible de très loin,En dansant des slows
Ou des danses de contacts très proches
Elle engloutissait des pendentifs de fraises
Et elle mangeait sans honte des hamburgersAvec des cornichons posés doucement
Entre deux tranches de toast de couleurs brunes
Avec un peu de sauce au paprika.
C'était un délice la voir avalerDans un gloussement de plaisir immense
Ces concombres tout petits
Dans des violents soupirs
Qui laissait ses admirateursTout plein de questions sur son point G…
Était-il placé au niveau
De sa bouche délicate et purpurine.
Je savais que la dame était lesbienneEt qu'elle ne couchait pas
Malgré ses seins parfaits et désirables,
Ses hanches d'une belles Antilope
Et son cul de Vénus…Plusieurs gars, très aventureux,
Ils avaient bien essayé
De coucher avec elle
Dans des contacts prometteursMais tout cela restait purement
Des contacts à de l'oral,
Totalement buccaux
Et tout passait par sa bouche,Ses paroles douces,sa véritable sexualité
Dans les longues libations orales et parfois sexuelles,
Elle redoutait tellement les sexes des hommes…
Qu'elle se contentait de tout faire avec sa bouche,Une bouche délicieusement coquine
De celles d'une mutine qui resterait vierge,
Sans que l'on sache vraiment pourquoi…
Sans doute un vrai désir de libertéQuelques caïds de Banlieues,
Ils essayèrent bien de l'embobiner
Dans des histoires incroyables
Comme des houris ou des saintes vierges…Mais la dame préférait sans aucun doute,
Pour le sexe oral, elle était sublime
Lorsqu’on l'embrassait sur la bouche
Et l'homme que je suis, il ressentait du bon gros désirMais passé l'énorme baiser
Sur ces grosses lèvres roses et de couleur purpurine,
Cela restait à quelques caresses et pas plus,
Elle avait acquis une grande réputation d'allumeuseDans ce monde de la fête et des boites de nuits…
Mais tous les mâles normaux, ils la respectaient
Car question du désir qu'elle savait inspirer aux mâles
Qui était présent dans ses fêtes.Non! On ne faisait pas mieux,
Cinq minutes dans ses bras,
Cela valait au minimum dix nuits
Avec toutes celles de la fête...Bruno Quinchez Paris le 6 novembre 2014 remis en forme le 25 Janvier 2020