Tout
-
Noël qui nous vient
- Le 22/12/2020
- Dans Fêtes
- 0 commentaire
Noël qui nous vient...
Noël ? Je ne sais pas trop ce que c'est pour vous !
Mais voici bientôt Noël qui nous vient bientôt
Avec toutes ses lumières qui brillent dans la nuit
Je sais des gamins qui sont heureux en familleJe sais aussi des solitaires sans compagnes
De ces gens qui vivent le confinement imposés
Les chose chrétiennes, pour cette fête, elles vont manquer
J'aime souvent songer à un gamin; qui est aussi très pauvre
Ce monde où nous vivons avec le confinement
C'est un monde qui n'est pas très sympathique
Il parait que les gamins, ils ne craignent pas le coronavirus
J'aime croire que dans un taudis naitra un grand humainParfois je songe à un Jésus qui vivrait dans l'Israël contemporain
Mais pour gérer la paix ça ne sera sans doute pas facile à vivre
Ce monde où nous vivons, il doit épargner ses prophètes
Je ne connais pas demain, mais j'ai la vie qui se partageDans ma famille Noël, ce n'est plus vraiment une fête chrétienne
Sans se dire athées, je sais de ces visions très humaines
Les curés sont devenus des gens totalement infréquentables
Je continue de croire en jésus mais je ne sais que dire des curésIl y a un truc que j'entends dire sur les assemblées dites religieuses
Pas plus de six personnes ! ça donne des églises qui sont vides
Je ne connais pas la manière de prier ensembles pour ces croyants
J'aime évoquer ce gamin, qui nait dans une crèche très pauvreBruno Quinchez Paris le 22 décembre 2020
solstice d'hiver et 3 jours avant Noël -
Le prix de L'Essence
- Le 22/12/2020
- Dans La nature et l'écologie
- 0 commentaire
Le prix de l'Essence
Peut-on donner du sens
Au prix de l'Essence
De sapin ou de mélèze
Le sens de l'Essence
C'est bon pour des philosophes
Du 18ième siècle
Qui sont dans des cercueils !
En sapin et qui se foutent bien
Du prix du baril d'or noir
Quand l'Essence a du sens
Je démarre en trombe
Et je vogue dans l'EspaceL'Espace a-t-il du sens ?
Dans quel État j'erre ?
Je suis dans un État...
Proche de l’Illinois
Dans des forêts
D'Essences raresBruno Quinchez Paris 15 février 2005
Poème, remis en forme le 22 décembre 2020 -
Propos divers
- Le 21/12/2020
- Dans Chroniques des temps qui passent
- 0 commentaire
Des propos divers
Des fois je le dis
que je vais me taire
tandis que je songe
A des trucs bizarresMoi Poète ! Tu parles ?
Là ! Je doute beaucoup...
C'est la vie qui continue
Avec tous ces petits soucisLe pire sur internet
C'est les droits d'auteurs
Qui se bloquent parfois
Pour des histoires de fricMais, là vous savez
Je vis une vie ordinaire
pour moi personnellement
J'ignore tout de vousJ'ignore peut-être bien
Tout ce que mes écrits
ceux que j'ai posé sur le net
ils deviennent après....Mes propos les plus simples
ils ne sont pas les plus faciles
Les vérités elle sont parfois étranges...
Y aurait il une vérité la dedans ?Quelque fois; moi je vous lis ici
Là sur ce site où vous écrivez
Et je me dis alors en vous lisant
Voilà un vécu qui est bien làY aurait-il quelques part
Des poèmes que je lis
Et qu'ils soient vraiment inédits ?
Oui ! Vos écrits ! ils sont tous nouveauxBruno Quinchez Paris le 21 décembre
Paris au solstice de l'hiver 2020 -
l'inconnu...
- Le 20/12/2020
- Dans Chroniques des temps qui passent
- 0 commentaire
L'inconnu...
Parfois je me dis en vous lisant !
Mais qui est donc cet autre ?
Une question qui est assez vaste
Cela en pensant à tous les terriens
Des milliards de vies diverses
Qui font des choses de la vie
Entre des riens et des rêves !
Connaissez-vous la Terre ?
Il y a des myriades de gens
Sur Terre qui sont différents
Des gens qui vivent
Dans des lieux qui sont très divers
Et j'ignore parfois tous ces autres
Des hommes des pays lointains
Oui la vie, elle m'enseigne
Chaque jours toutes ses différences
Il y a dans ces pays lointains
Des chose avec des homme étranges
Je suis un blanc ordinaire d'une Europe
Qui pour moi, elle me parait trop banale
J'imagine la diversité complète
Dans ce monde où nous vivons
La Terre est pleine de multiples choses
De multiples races d'humain
Puis en vous lisant ici sur ce site de toute la poésie
je pense alors à vous tous qui êtes là
Mais l'autre, c'est cet inconnu sans nom
Il reste pour moi; un grand mystère
Y aurait il un ami qui reste inconnu
Ou des gens qui sont totalement indifférent
Je ne connais pas votre réalité physique
Je vous sais seulement lecteurs, et parfois écrivains
Bruno Quinchez Paris le 19 décembre 2020 -
Mon Noël 2020
- Le 20/12/2020
- Dans Chroniques des temps qui passent
- 0 commentaire
Mon Noël 2020...
Je ne sais que vous dire sur Noël
Certes c'était bien une fête
Celle-ci que j'aimais bien autrefois
Entre des enfants autour de la crècheMais avec le temps qui passe
Et tous mes petits soucis vécus
Je ne croyais plus en cette fête
Mais en y réfléchissant dans mon cœurJe savais ce symbole de la nuit de Noël
La période du solstice d'hiver
Parait-il la nuit la plus longues de l'année
Et ainsi alors voir les jour qui rallongentJe ne sais plus prier dans les églises
Je n'y vais plus, Oui ! J'évite la foule
Et pas que pour le coronavirus
Les églises sont vides parait-il ?Les curés contemporains
Ils me font douter profondément
Car ils font des cérémonie religieuses
Tout en disant n'importe quoiLe latin qui est parois utilisé,
Dans ces messes que j'aime pas
Oui ! Mais mo! Je ne cause pas latin
Et moi je n'aime pas tous ces vieux trucsEt puis si je n'ai plus la foi dans les curés
C'est un peu par leur absence sociale
Ils ne s'intéressent pas vraiment
Aux réalités sociales des paroissiensJ'aime voir ces gamins autour de la crèche,
le petit Jésus qui attire les enfants
Vous savez peut-être que je suis un solitaire;
Alors donc pas de prêchi-prêcha pour moiMa vie est peut être plus une vraie solitude
Mais je sais des enfant qui batifolent
Cela près de chez-moi; chez ma voisine
Le ciel n'est pas un lieu; où on parle de DieuMais j'y vois le soir et le matin le soleil
Qui bouge entre le matin et le soir
Je sais des trucs bizarres comme le noir
Celui que j'ai créé dans mon passé en 1977celui de non vécu cela sans une vraie cause logique
Une lumière qui est absent Dans cette vie
Je ne sais pas si je suis un dieu ou un démon
Parfois je regarde les lumières comme indépendantesToutes celles là qui s'impose en plein jour,
Soit le noir malgré ce Dieu tout puissant
J'aime à croire dans un gamin
Dans une crèche, il reste un innocentJe sais cet enfant sans préjugés
Ni angoisse simplement un bon regards
Et je me dis qu'i y a des petit riens
Dans ma vie que j'aime bien voir ces presque rienEt parfois j'y vois un monde, assez bizarroïde
Celui là où nous vivons dans notre présent ici
Il parait que la poésie elle reste irremplaçable
Je sais aussi des dingues qui bavardent sur le netParfois lorsque je me connecte, su mon ordinateur
Je vois plein de dingueries qui sont dites poétiques
La poésie reste une liberté, Je ne sais pas vraiment la quelle
Quoiqu'en disent certains bavards irresponsablesIl n'ya pas de lois et il n'y pas de justice que le net
Certains folies qui consiste à vendre quelque horreurs
Je ne doute Pas que vous êtes la vous me lisez
En ce qui concerne la poésie quelques elle soitUn gamin qui nait de nos jours, dans ces années de confinement...
Que sera-t-il vraiment lorsqu'il sera un adulte dans ce monde ?
J'imagine parfois des jeux inconnus pour ces gamins d'aujourd'hui
Parfois je vois des gamins réveurs qui vous parlent de leur monde ,Bruno Quinchez Paris le 19 décembre 2020
des ajouts Paris le 20 décembre 2020 -
Les étoiles... 19-12-2020
- Le 19/12/2020
- 0 commentaire
Les étoiles, elles sont en or...
Question d'étoiles elles sont toutes en or
Mais elles sont inatteignables loin de notre connerie de bipèdes
Ce n'est pas demain qu'on y ira question relative au gars Albert
Le même qui a inventé la bombe... les étoiles se foutent de nous
Les étoiles rigolent de notre planète minable
Avec ces humains assez nombreux sur cette planète isolée
Il n'y pas de Terre de remplacement et nous n'irons pas pourrir
Le reste de l'univers, nous crèverons nous les humain
Sur cette petite Terre si fragile, celle là qui reste limitée, c'est un fait
Oui! Nos ressources elles nous manquent , une Terre limitées
Pour nous les vermisseaux insatisfaits, ceux là qui croyaient n'importe quoi
Pour nous les enfants de nos rêves du passé nous avons rêvé
Et ça c'est une parole de physicien responsable, celui qui vit l'entropie
C'est bien un monde à refaire, entre des rêves abstrait et des réalité cruelles,
Je suis un homme parmi ces hommes, je ne suis ni meilleur ni pire
Dans ce monde devenu très matérialiste entre internet et l'argent
Je suis un rêveur de celui qui ne construit pas la machine à rendre possible
Toutes les conneries dont les hommes ont rêvé, a savoir consommer des rêve
Je sais bien toutes ces conneries d'autrefois celle là nos années folles
Je me souviens des rêves lointains qu'on nous donnait pour rêve
Ce monde il est trop absurde, je ne sais pas tout ce que vous aimer
Un poème simple me va bien et je vous le donne à lire
On crèvera dans ce monde jusqu’à en devenir des hommes raisonnables
Nous sommes des hommes humains et responsables mais présents
De nos jours je pense en me lisant que ce que je vous dis
Ce sont des trucs pas sympathiques et mal vu dans les médias
Il y a des histoires de maladies communes, celle là de nos jours
Et quelques manques ordinaires pour pouvoir y faire face
J'ignore ces voisins qui portent des masques, je les vois sans visage
Je sais seulement des chose qui sont dites sur les risques des contacts ordinaires
La poignées de main; elle nous est parait il interdite car trop dangereuse
Parfois je me dis que je suis un grand solitaire dans ce monde trop absurde
Mais je sais aussi des multitudes de personnes vivantes qui sont bien là
Des gens fragiles qui doivent rester seules donc sans contacts amicaux
Je me dis que je vis dans un monde de dingues mais je sais toute notre humanité
Nous oscillons entre des dieux et des démons, un monde incompréhensible
Bruno Quinchez Paris le 18 février 2005
et quelques rajouts le 19 décembre 2020 -
Tendresse
- Le 15/12/2020
- Dans Poésies diverses et variées
- 0 commentaire
Tendresse
Je me dis souvent en moi même... Moi le Bruno !
Que tout ce que j'écris sur ce site où je vous lis
Ce sont des choses de la vie, entre la votre et la mienne
ces mots qui sont partagés, qui se disent poétiquesParfois je me dis que certains poèmes que je lis
Ils sont bien plus longs, que des quatrains ordinaires
Oui ! Ce sont tous mes mots plus tendres, qui se suivent
Dans des poèmes qui peuvent vous paraitre plus longsParfois je me dis aussi, cela en y réfléchissant
Que j'aime lire tous vos avis, ceux-là que vous donnez
Ces petit riens que je vois qui sont là écrit sur le net
Je me dis en lisant tous ces textes écrits sur TLPy aurait il une belle histoire qui serait à partager ?
Je sais seulement que je peux vous lire avec curiosité
Parfois ce sont des mots très vivants et qui sont assez tendres
Et d'autres parfois, cela ils me paraissent assez cruelsJ'entend un chien qui vit dehors dans ma rue
Et aussi un petit gamin qui est a côté de chez moi
C'est aussi la vie très banale, celle là que je vis
J'aime votre lecture très patiente ici sur ce site internetY aurait il un jour de belles histoires d'amours vécus
Cela je ne sais pas parfois je me dit que je suis un solitaire
Il est vrai, que je suis seul, mais je ne partage rien du tout
Alors je vous lances quelques mots tendres pour vousParmi les myriades de gens sur internet...Oui je sais des vies
Je sais aussi des solitudes fragiles que je partage facilement
Des mots parfois stupides et ordinaires de la vie commune
Et quelques mots plus tendres, des riens que vous partagezcomme de bons sourires, tous ceux là que vous nous donnez
Le ciel est fait d'étoiles la poésie c'est des myriade de mots divers
L'amour reste une liberté dans nos choix; il y parfois de la tendresse
Je ne sais que dire! Je sais seulement des mots qui me plaisent bienBruno Quinchez Paris le 15 décembre 2020
-
Douze jours avant Noël
- Le 12/12/2020
- Dans Chroniques des temps qui passent
- 0 commentaire
Douze jours avant Noël, une pensée pour Jésus
Je songe à un Jésus, celui là quand il était petit enfant
Connaissait-il son destin celui de devenir un prophète
Certains disent qu'il avait en lui déjà toute la sagesse
Je ne sais que dire d'un destin avec tout qu'il ya à parcourirEn vieillissant je sais mon destin et ce que moi, je suis devenu
Je ne saurais jamais pas celui que j'aurais pu être dans une autre vie
Je songe souvent au passé antérieur et ce que j'étais encore jeune
Et je songe aussi au destin divers de plusieurs hommes célèbresEntre un scientifique, un artiste, un philosophe ou un prophète
Savoir le poids des ses œuvres et tous les drames affreux causés
Moi ! J'ai fait le choix du camp des artistes qui est le meilleur de tous
Ou plutôt, c'est le plus innocent par ces conséquences sur ce mondeJ'imagine un monde sans Jésus et j'y vois que l'argent est alors le vrai dieu
Pauvre petit Jésus face à tous ces radins éternels et sans partages
Si le communisme athée, il a si bien pris dans notre monde chrétien
Il faut aussi y voir des réalités financières, de cette église qui oublie JésusPetit Jésus je t'aime ! Et je songe souvent à tous ces miséreux sans argent
Dans une crèche il manque des choses plutôt simples, mais qui sont cruelles
Comme une croix, bien solide, un instrument de la torture des esclaves romains
Les premiers chrétiens ils avaient très peur de cette croix tellement monstrueuseJésus vient donc ! Et n'oublie pas que toi ! Tu es très aimé dans ce monde absurde
Bientôt Noël en cette année 2017 avec toutes ses folies et ses guerres sans fin
Un enfant c'est une promesse pour demain, mais demain je ne sais pas ce qu'il sera
Il faudrait un peu plus d'enfants sages, que de prophètes fous, avec leurs malédictionsBruno Quinchez Paris le 19 décembre 2017
remis sur le site Paris le 12 décembre 2020 -
Quatrains...
- Le 12/12/2020
- Dans Mes références
- 0 commentaire
Quatrains... Sans autre ordre que la Nécessité
Le soleil se levait déjà, aux blancs confins des nuées
Je me levais, frais, disponible pour un nouveau temps
C'était en hiver, des flocons tombaient, fins et légers
Je me préparais à vivre, sentant en moi le printempsJe me levais tranquille prêt à bien vivre et rire,
Je n’avais pas de moulin à abattre mais des heures,
A vouloir débattre, et à vouloir encore sourire,
Je ne voyais venir que le bonheur, pas le malheur.Je regardais ma pépette, bien blottie au chaud sous la couette
Princesse au cœur et au corps de panthère mais si chouette
J'allais à la cuisine préparer un petit déjeuner, du pain grillé
Ces odeurs, ça sentait le café qui doucement allait la réveillerDans un silence parfait, je contemplais, lassé, mes rides,
Je regardais cette femme au cœur et aux désirs avides,
Je ne savais que lui dire, pauvre homme que j'étais, absent,
Pour tous les rêves que j'avais faits, encore tout jeune enfantDes explosions, dans le ciel, fleurissaient notre jour,
Des anges qui lâchaient, leur bombes sur nos têtes,
Cruels anges des saints abattoirs, Dresde, Oradour,
Auschwitz était encore inconnu, donc sans requêtes.Mon homonyme familial qui regardait sa mort
Venir de douze fusils car il avait eu ce grand tort
De vouloir dire non! Un petit enfant de vingt ans
Dans une Europe de déments, mort mais aimantMenora, Memoriam, Mnémosyne, un même grand nom,
Dans toutes ces civilisations antiques, elles me hantaient, avec des démons
Ou ange des souvenirs, je songeais en ces beaux matins
A ces jours de fureurs, que sont nos vies et nos destinsNe savoir jamais ni le jour ni l'heure
Et vivre sans poser toutes ces questions
Sur ce qui vous fait malheur ou bonheur
Saisir intensément l'instant et dire... Vivons!Ces jours passés ou vivre un ordinaire quotidien,
Tant de temps pour vivre, cet ennui qui me ronge,
Et ce quotidien qui s'assume dès les petits matins,
Ne pas vivre pour manger, pouvoir vivre d'un songeIl y a quatre-vingt ans l'Europe découvre l'horreur
Alors qu'ils croyaient se battre que pour l'honneur
La Liberté et la Vérité de vivre tous ensemble
La Vérité était horrible, et la Conscience troubleJour après jour, le temps s'enfuit
Sonne l'heure, sonnent les cloches
Même dans le noir, l'espérance luit
Ses flèches, dans mon cœur, décochele clown était bien triste en ce beau matin
On se moquait de lui, des mauvais Coquins
Qui ne connaissent pas encore son bon cœur
Ceux-là qui ricanent, et déjà le clown pleureDans la nuit solitaire et l'obscurité si profonde,
Un enfant pleurait, d'une grosse terreur immonde,
J'ai été, comme tous les enfants, ce petit gamin,
Que sa mère rassurait, dans ses bras, au matin.Blanche Lune se couchait et déjà le soleil se levait
Nous n'avions pas ces mêmes temps de nos vies
Les jours passaient, et plus rien, pour nous, allait,
Que de temps en temps, de trop vagues cérémoniesMadame, pour vous, et pour la saint Valentin,
Je balancerais quelques beaux alexandrins,
Des rimes pour sourire, pour ce bon plaisir,
Un plaisir de pouvoir dire, et bien en rire,Plus le temps passe... Plus moi je me lasse
D'écrire des balivernes ou choses fadasses
Tout casse, tout passe et les choses s'amassent
Mille choses fanées, fragiles et qui se cassentBouillir du chou ou cueillir un bouquet de jolies fleurs
Question odeurs, j'aime encore mieux sentir la rose,
Que les choux-fleurs que sont parfois vos gros cœurs
Même si mon cœur-chou est parfois aussi très moroseMadame! Votre cuisine n'est-elle pas cette Marmite ?
Et que mon cœur-chou, cuise, pour vous trop vite,
Et que mettiez mes yeux, pochés et frit à la poêle
Ou qu'amante et cuisinière vous en aimiez la moelleAimer et manger, c'est cette même dévoration,
Que d'autres disent aussi, dévotion ou adoration
J'aime à te dévorer, de tout cœur et de mes yeux
Parce que pour une, je ressens ce feu amoureuxMadame mon bout de gras vous conviendra-t-il ?
Je ne sais si je suis un tendre veau, ou saucisson,
Mais mon âge n'est pas tendreté, me semble-t-il !
Peut être aimerez-vous ma carne de vieux cochon ?Madame, elle a mon âge ou elle n'est pas loin,
Il me semble vous me l'avez déjà dit tout cela
Et je garde bien le secret pour votre soin
Mais je souris comme un vieux Radjah...Vous m'aviez dit plus de cinq cents ans
Vous connûtes Abélard votre bel amant
Vous draguiez aussi le gars Casanova
Mais pour moi vous dites, rien ne me va !Paris sous la neige, trottoirs très glissant,
Mes chaussures prennent l'eau, pas marrant
Mais c'est très normal la neige en ces temps
Même si j'ai une préférence pour le printempsPlus me plait ce soleil et toutes ses fleurs
Que neiges et vents mauvais qui soufflent
Sur mon cœur et ma vie, que du malheur
Que j'aime du soleil ces heures qui enflentEn ce jour de printemps mon cœur fleurissait
De mille et une fleurs, à celle là qui me souriait
Nouveau temps et encore une nouvelle saison
Cycles des vies, la raison sans aucune oraisonDeux plus deux font quatre pensait il un peu rêveur
Il savait des histoires compliquées entre des couples
L'amour de l'une ou de l'autre, il faut choisir parmi toutes
il y avait cette histoire d'amour éternel et qui est parfaitje savais seulement des vies communes et pas toujours aimantes
Parait il que dans une vie Les choix doivent être acceptés
Pour moi je sais des absences et une solitude mal vécue
Dans mon passé je songe aux histoires d'amour que j'avaisJe me suis souvent demandé et si j'avais vécu à deux
Dans ma réalité c'est surtout des problèmes de sous
Je n'ai rien d'un opportuniste avec plein de choix de ma vie
Pour les choses communes, cela reste de la tendresse et pas plusBruno Quinchez Paris de janvier à Mars 2005
Texte retravailllé Paris le 12 décembre 202 -
Vues...
- Le 11/12/2020
- Dans Psychologie de Bazard
- 0 commentaire
Vues...
Dites-donc vous autres... Ici et là ! Sur ce site internet !
Il ne faudrait pas confondre,le sens vos mots
Visible, voyeur, voyant et TV, et toute la vie
Le visible ! C'est tout ce qui est accessibleArthur Rimbaud, il nous parle de voyant...
Les sociologues; ils parlent de voyeurs
La télévision, elle nous vends ses images
La censure, elle parle de visible qui est autorisée,La télé Oui elle ne parle qu'aux voyeurs
Certes Poète, vous n'avez plus de regards
Mais sûrement des réflexes optiques...
Je sais des choses banales de la TV qui m'ennuientEssayez de réfléchir sur ce que vous voyez
Avant de vous regardez le nombril
Et tout spécialement pour certains poètes
Qui sont beaucoup trop bavards en ce momentJe me dis parfois que je ne suis pas vous ici
mais je me dis aussi le net c'est très bavard
Le poète a toujours raison ! Nous disais Aragon
j'ignore ce que vous dites ! Parfois je vous lis
Non : Je ne sais pas exactement, tout ce que vous êtes
Et parfois je vous lis ici et là de temps en temps
Oui Vous existez ! Car la vie elle est faites d'échanges
Y aurait-il quelque part une série qui soit vraiment inédite ?Non là je souris sur vos propres textes que vous mettez
Vous savez, parfois je vois et je sais bien tout cet incroyable
Un écrivain, il compose des myriade de trucs parfois très bavards
Mais savez vous quel est parmi nous autres celui qui vous liraBruno Quinchez Paris le 28 février 2005 et Paris le 11-décembre-2020